L’église Saint-Martin d’Ansouis

LES TÉMOINS DU PASSÉE

L’ÉGLISE SAINT-MARTIN D’ANSOUIS

Église Saint-Martin

Blason de la ville d’Ansouis

TYPE : église.

STYLE : roman.

NOM LOCAL : église paroissiale Saint-Martin.

CULTE : catholique.

ÉPOQUE : Moyen Âge.

PÉRIODES DE CONSTRUCTION : XIIIème, XIVème, XVIème siècles.

ÉTAT DE CONSERVATION : l’église a fait l’objet de fréquentes réparations au cours des siècles, sans compter la coûteuse rénovation de la toiture en lauzes et la décoration des autels.

PROTECTION :  l’église paroissiale (y compris le perron semi-circulaire) fut classée par arrêté sur la liste des Monuments Historiques le 24 octobre 1988.

PROPRIÉTAIRE : la commune.

COMMUNE : Ansouis.

DÉPARTEMENT : Vaucluse.

RÉGION : Provence-Alpes-Côte d’Azur.

LOCALISATION

La mairie

L’église Saint-Martin se situe sur la commune d’Ansouis, dans le département du Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

ANSOUIS

Ansouis

Ansouis est une commune française située dans le département du Vaucluse, dans le Luberon.

Construit à l’abri du mistral, le village perché d’Ansouis domine la plaine de la Durance. Il se situe au sud de Cucuron et de Sannes, et au nord de Villelaure et Pertuis. A l’instar de nombreuses communes de la région, le tourisme et l’agriculture (vignes, oliviers, etc.) occupent une grande place dans son économie. Le Luberon est réputé pour sa douceur de vivre et sa beauté naturelle.

En 2022 sa population s’élevait à 1 066 habitants, les Ansouisiennes et les Ansouisiens.

Aujourd’hui, il compte parmi les plus beaux villages de France.

Les films « Jean de Florette » et « Manon des sources », de Claude Berri, ont été tournés à Ansouis.

Les Plus Beaux Villages de France

LE VILLAGE

Lire : Ansouis, village médiéval

LE CHÂTEAU

ESCAPADES VAUCLUSIENNES

L’église Saint-Martin d’Ansouis se trouve 7 km de l’église Saint Barthélémy de Vaugines, à 8,6 km de l’église Saint-Étienne de Cadenet, à 8,6 km de l’église Notre-Dame de Romégas et du château de La Tour d’Aigues, à 11, 1 km du château de Lourmarin, à 14,7 km de l’église Notre-Dame de Beauvoir de Grambois, à 29 km de l’abbaye Saint-Hilaire, à 37,2 km de Saint-Saturnin-lès-Apt, à 42 km  de la cathédrale Notre-Dame et Saint Véran de Cavaillon, et de l’Arc antique de Cavaillon, à 43,2 km de l’Abbaye Notre-Dame de Sénanque, à 53,9 km de l’église Notre-Dame-du-Lac du Thor, à 56,6 km du château de Thouzon, à 56,6 km des Tours sarrasines de Venasque, à 57,1 km du baptistère de Venasque, à 63 km de Pernes-les-Fontaines, cité médiévale, à 63,3 km de la Tour Ferrande à Pernes-les-Fontaines, à 89,7 km du Théâtre antique d’Orange, à 92,2 km de l’arc de Triomphe d’Orange.à 97,9 km du château du Barroux, à  à 116 km du théâtre de Vaison la Romaine, du site antique de  Vaison la Romaine, et de la cathédrale Notre Dame de Nazareth de Vaison la Romaine, (Sources Google Maps).

HISTORIQUE

Le château

ANTIQUITÉ

Plusieurs parties du village témoignent d’un habitat datant de l’époque gallo-romaine : au moyen-âge, un castrum succéda probablement à un oppidum.

MOYEN ÂGE

Autrefois, Ansouis faisait partie de la viguerie d’Apt. Il fut mentionné pour la première fois en 963, quand Lambert de Reillanne donna à l’abbaye Saint-Pierre de Montmajour des terres situées à « Ansoye ».

Le Viguier était, dans le sud de la France, un officier royal d’administration et de justice.

Le château d’Ansouis (Xème siècle) était alors utilisé comme point de défense stratégique. Il fut le témoin de nombreux événements historiques. À travers les siècles, le castel fut transformé et agrandi, passant de forteresse médiévale à résidence seigneuriale.

Puis, avec le temps, Ansouis vit passer différents seigneurs et propriétaires, chacun améliorant l’architecture et la structure du village. La famille de Sabran (une des familles les plus influentes de la région) y vécut assez longtemps. Ses armoiries sont encore apparentes dans certaines parties de la forteresse et de l’église.

Du XIIIème jusqu’au début du XVIIème siècle, le fief et la seigneurie (baronnie) de la maison de Sabran passèrent à Sextius d’Escallis, seigneur et baron d’Ansouis, dont le fils vendit le tout à un Villeneuve.

Les Sabran formaient une puissante famille provençale originaire du Languedoc. 

Blason de la famille de Sabran

Le premier Sabran mentionné fut Raimon, qui épousa Garsende, la fille de Guillaume IV, comte de Forcalquier. 

De nombreux hauts personnages furent issus de la famille de Sabran, dont un Saint. Hermengaud de Sabran et sa femme Laudune d’Aube de Roquemartine (« la bonne comtesse ») eurent un fils, Elzéar (qui fut Saint Elzear de Sabran, né en 1285 au château de Robians, non

Armoiries des Sabran

loin d’Ansouis).

Elzéar fut élevé par son oncle Guillaume de Sabran, abbé à Saint-Victor de Marseille. 

On maria le jeune Elzéar avec la non moins jeune Delphine de Signes. Ce fut le coup de foudre ! Mais la belle lui demanda de faire avec elle vœu de chasteté… Source : Jean-Paul Clébert. Guide de la Provence mystérieuse. Éditions Tchou, 1968

Bustes-reliquaires des saints époux Delphine et Elzéar

Le comte Elzéar de Sabran (1285-1324) a marqué l’histoire locale. Il fut en effet canonisé en 1369 par l’Église catholique, sous le pontificat du pape Urbain V. Avec sa femme « Dauphine », ou Sainte « Delphine » (proclamée, elle, Bienheureuse), il vécut quelques années au château d’Ansouis. 

L’église du village conserve leurs reliques. Tous les ans en septembre, les Ansouisiens organisent d’ailleurs un pèlerinage en leur honneur.

Lire : l’abbaye Saint-Victor de Marseille

Vers la fin du XIème siècle, on retrouve des traces de l’église d’Ansouis en tant que dépendance du chapitre cathédral d’Aix, dont elle constitua jusqu’à la Révolution l’une des principales prébendes.

Prébende : revenu fixe qui était accordé à un ecclésiastique. Part de biens prélevée sur les revenus d’une église, et attribuée à un clerc pour sa subsistance et en compensation du ministère accompli (les prébendes disparurent en France à la Révolution).

Elle dut être construite durant une très importante période démographique de la région. On a cependant très peu de précision sur la date de son édification réelle ; probablement vers la fin du XIIIème siècle.

Le village, comme cela se faisait au Moyen âge, s’est développé autour du château. Ses ruelles typiques et étroites, ses maisons traditionnelles en pierre, ont peu évolué depuis des siècles.

L’église Saint-Martin (du XIIIème siècle) est un autre témoignage important de l’histoire médiévale d’Ansouis. Mélange de styles roman et gothique, elle se remarque pour ses fresques et son architecture exceptionnelle. L’église, fortifiée, fut insérée dans l’enceinte urbaine du village et accolée à son château.

Au XIIIème siècle, le mur sud de l’église fut fortifié. On rajouta un parapet crénelé, et l’on perça des archères.

LES GUERRES DE RELIGION

Du XVIème au XVIIIème siècle, les procès-verbaux des visites pastorales successives notèrent que l’église était entretenue, et qu’elle fit l’objet de réparations ; avec notamment une toiture en lauzes.

En août 1571, au cours des Guerres de Religion, les troupes calvinistes venues de Ménerbes (occupé par les Calvinistes) s’emparèrent d’Ansouis (Ménerbes résista cinq années aux assauts des troupes catholiques, mais tomba en 1579).

La « Ligue catholique », la « Sainte Ligue » ou la « Sainte Union » fut, pendant les guerres de Religion, un parti de Catholiques qui se donna pour but la défense de la religion catholique contre le protestantisme.

En 1585, Hubert de Vins, chef de la Ligue en Provence, ayant échoué devant Pertuis, s’empara d’Ansouis, de la Tour d’Aigues, de Lamotte et de quelques autres places, qu’il remit au comte de Sault.

Afin de reprendre Ansouis aux Protestants, les Ligueurs assiégèrent la ville, et élevèrent un beffroi surmonté d’un campanile.

Les belles maisons du centre-ville ainsi que la tour de guet des remparts datent aussi des XVIème et XVIIème siècles.

Lire :

Le château de La Tour d’Aigues

L’église Notre-Dame de Romégas de la Tour d’Aigues

Au XXème siècle, en 1997, lors de la réfection de la toiture dallée, deux nouvelles cloches, Sainte Roselyne et Saint Martin, furent réalisées par la fonderie Granier Père et Fils, à Malagas. Elles vinrent rejoindre les anciennes, Sainte Delphine et Saint Elzéar.

Le clocher 4 cloches

ÉPOQUE CONTEMPORAINE

Au XIXème siècle, le château fut racheté par le duc de Sabran, pair de France.

En 1818, Charles X éleva au titre de Duc, Elzéar Zozime (comte de Sabran, lieutenant général des armées du Roi en Provence sous la Restauration et depuis 1815, Pair de France héréditaire).

En 1836, la marquise de Saqui de Sannes vendit Ansouis à Elzéar-Louis-Zozime (duc de Sabran) ; ses descendants la conserveront jusqu’en 2008.

En 1936, le château plus ou moins abandonné fut réoccupé par le duc Foulques (1908-1973) et son épouse, née Roselyne Manca-Amat de Vallambrosa (1910-1988). Ces amateurs d’art et d’antiquités restaureront pendant 40 ans les bâtiments et les jardins.

Le 17 janvier 2008, le château fut vendu au profit de Gérard et Frédérique Rousset-Rouvière. Depuis lors, ce couple d’aixois, passionné par le patrimoine, entreprit de remeubler la demeure.

L’ÉGLISE SAINT-MARTIN D’ANSOUIS

L’église paroissiale est située à la bordure supérieure nord du village, au pied des terrasses du château ; l’on y accède par la place de l’Église.

A l’ouest, on débouche sur un étroit passage dallé, flanqué par une forte dénivellation. Au nord et à l’est, l’église est mitoyenne au château. Sa façade antérieure est une partie de la première enceinte fortifiée du village.

EXTERIEUR

L’église actuelle semble avoir été construite en même temps que la 1ère enceinte fortifiée, ou peu après (au cours du XIIIème siècle, ou au début du XIVème siècle). La nef a été agrandie en utilisant le mur d’enceinte, dans lequel on a percé la porte principale.

L’église d’Ansouis est composée d’une nef, de trois travées, ainsi que d’un vaisseau transversal.

LA FAÇADE D’ENTRÉE ET LE PERRON SEMI-CIRCULAIRE A NEUF DEGRÉS

LA FAÇADE D’ENTRÉE

LES ALLÉES EN CALADE

UNE ALLÉE EN CALADE

Une rue « caladée », (encaladée ou en calade, ou une calade) désigne en Provence et en Languedoc une voie de communication, une chaussée pavée de galets fluviaux ou empierrée de pierres calcaires. Dans ce dernier cas, les pierres sont posées verticalement, sur chant (sur la tranche).

« Calade » (calada) est le terme français de la langue d’oc pour désigner la pierre qui sert à paver les rues, le pavé, ou la rue pavée.


LES PIERRES A BOSSAGES

BOSSAGE : pierre de taille présentant des bosses sur la surface extérieure. Cette particularité donne ainsi au mur un aspect brut. La pierre à bossage permet l’économie d’une surface à tailler, en réduisant le coût du travail de l’ouvrier.

L’APPAREIL MOYEN En architecture, le mot appareil (opus en latin) désigne la façon dont les moellons, les pierres de taille ou les briques sont assemblés dans la maçonnerie. On trouve aussi : petit, moyen et grand appareils.


LE PANORAMA

L’INTÉRIEUR

L’église d’Ansouis est composée d’une nef de trois travées, d’un transept continu et d’une abside rectangulaire, voûtés en berceau brisé. La nef trapézoïdale est désaxée par rapport au transept et à l’abside. L’abside est encadrée de deux absidioles, dont l’une est condamnée et l’autre transformée en sacristie.

LA NEF

La situation du monument et son étroitesse n’ont pu permettre l’édification de chapelles latérales. L’aménagement de tribunes (trois en 1620, édifiées par les paroissiens eux-mêmes) a permis d’augmenter un peu la surface de l’édifice. Elles seront toutes détruites par la suite. On peut encore apercevoir l’arrachement d’une quatrième tribune datant du XVIIème siècle.

LE CHŒUR

LA CHAIRE

LES VOÛTES

L’arc triomphal est surmonté d’un clocher-mur percé de quatre baies.

LE STATUAIRE

LES RELIQUAIRES

LES FRESQUES ET LES PEINTURES

LES TABLEAUX

LE CHEMIN DE CROIX

LE DALLAGE

 

Armoirie des Sabran

                                                                            SAINT MARTIN DE TOURS 

Saint-Martin

Saint Martin de Tours, aussi nommé « Martin le Miséricordieux », ou encore « Saint Martin des Champs », a donné son nom à différents édifices religieux.

Le nom de Martin signifie « voué à Mars », Mars étant le dieu de la guerre à Rome.

Martin naît en 316 dans l’Empire romain, plus précisément à Savaria, dans la province romaine de Pannonie (actuelle Hongrie), et meurt à Candes-Saint-Martin, en Gaule (Touraine), le 8 novembre 397.

Il fut l’un des principaux Saints de la Chrétienté et le plus célèbre des évêques de Tours avec Grégoire de Tours. L’adoration à Martin s’exprime à travers une relique (son manteau ou sa cape), qu’il partagea avec un pauvre transi de froid.  Dès le Vème siècle, le culte martinien donna lieu à une dévotion particulière sur la vie, l’écriture, et les faits et gestes du Saint. 

FAMILLE ET JEUNESSE 

Son père était un tribun militaire de l’Empire romain, c’est-à-dire un officier supérieur chargé de l’administration de l’armée.

En cette époque marquée par le développement du Christianisme à l’école, Martin fut vraisemblablement en contact avec des Chrétiens. Tout jeune, vers l’âge de dix ans, il voulut se convertir à cette religion.

En tant que fils de magistrat militaire, Martin suivit son père au gré de ses affectations de garnison. Il est en quelque sorte lié à la carrière de son père, vouée au service de l’Empereur. (Dans le bas-Empire romain, la population avait des métiers héréditaires).

Lorsque son père fut muté à Pavie (en Italie du Nord), Martin le suivit.

Son père, irrité de voir son fils se diriger vers une autre carrière que la sienne (l’âge légal de l’enrôlement était de dix-sept ans), le força à l’âge de quinze ans à entrer dans l’armée. (Il est fort possible que Martin se soit laissé persuader pour ne pas discréditer la condition sociale de ses parents). 

LE PARTAGE DU MANTEAU 

Nommé à Amiens, en Gaule, un soir de l’hiver 334, le légionnaire Martin partagea son manteau militaire (la chlamyde faite d’une pièce de laine rectangulaire) avec un pauvre gelé de froid (il n’avait plus d’argent sur lui, car il l’avait généreusement distribué à des déshérités). La nuit suivante, le Christ lui apparut en songe, vêtu de ce même manteau. Martin n’avait alors que 18 ans.

Plus tard, le morceau de son manteau restant, appelé « cape », sera placé à la vénération des fidèles, dans une pièce dont le nom est à l’origine du mot « chapelle » (« cappella » en italien, « chapel » en anglais, « Kapelle » en allemand). 

MARTIN L’ANACHORÈTE

Martin quitta l’armée vers 356, et se rendit à Poitiers pour rejoindre Hilaire (évêque de la ville depuis 350). Attiré par une existence religieuse, son statut militaire (il a versé le sang) l’empêcha de devenir prêtre : aussi refusa-t-il la fonction de diacre que lui proposa l’évêque.

Puis il partit en Illyrie (Albanie actuelle) pour convertir des membres de sa famille (dont sa mère). Il combattit alors l’hérésie arienne qui régentait le clergé de la région.

C’est à Arius (256-336), théologien alexandrin, que l’on attribue au début du 4ème siècle le courant de pensée théologien, l’« arianisme ». Sa pensée assure que si Dieu est divin, son fils Jésus, lui, est avant tout un humain mais possède cependant une part de divinité. C’est en 325 que le concile de Nicée, rassemblé par l’empereur Constantin, rejeta l’« arianisme », jugé hérétique.

En 361, après que l’arianisme fut une nouvelle fois condamné au Concile de Paris, Martin revint alors à Poitiers, où Hilaire l’autorisa à créer une communauté religieuse non cloîtrée à Ligugé, en Poitou.

En 371, sa renommée fut telle que les Chrétiens de la région de Tours le choisirent contre son gré comme évêque. Menant une existence très humble, il contrasta avec ses condisciples (les évêques de son époque) qui, eux, issus de l’aristocratie gallo-romaine, vivaient souvent dans l’opulence. Il parcourut son diocèse (ce qui n’était pas commun pour les évêques de son époque, qui étaient sédentarisés dans les villes). Il évangélisa la population (restée jusqu’alors païenne), et fonda les premières paroisses rurales de la région centrale de la Gaule.

Martin s’installa ensuite à Marmoutier, près de Tours, et vécut en ermite dans une cabane en bois. Rapidement rejoint par des Chrétiens, il fonda ainsi le premier monastère de la Gaule.

Un jour, voyant des oiseaux pêcheurs se disputer des poissons, il expliqua à ses disciples que les démons se disputaient de la même manière les âmes des chrétiens. Et les oiseaux prirent ainsi le nom de l’évêque ; ce furent les « Martins-pêcheurs ». 

SA MORT 

Son corps fut inhumé à Tours, et devint le lieu d’un pèlerinage qui fut un des plus importants du Moyen Âge. 

Les rois Mérovingiens le prirent comme Saint patron protecteur. 

Saint Martin fut très populaire en Gaule, puis, par la suite, en France. Près de 485 communes portent son nom ; plus de 3 660 paroisses lui sont dédiées. 

Martin est aussi le nom de famille le plus porté en France (en Occitanie, sous la forme « Marty »).


 

Sources :

Mes photos

Photos publiques Facebook

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ansouis#Histoire

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Martin_d%27Ansouis

https://www.rhone-medieval.fr/index.php?page=accueil&dept=84&chateau=62#11

https://www.provenceguide.com/patrimoines-culturels/luberon/eglise-paroissiale-saint-martin/provence-3337057-1.html

https://luberon.fr/tourisme/les-sites-touristiques/monuments/annu+eglise-d-ansouis+2695.html

https://monumentum.fr/monument-historique/pa00081799/ansouis-eglise-paroissiale-saint-martin

https://ansouis.fr/patrimoine-et-decouverte/decouvrir-ansouis/

https://fr.anecdotrip.com/saint-martin-dansouis-et-son-couple-hors-du-commun-par-vinaigrette

https://lafrancemedievale.blogspot.com/2017/07/ansouis-84-eglise-romane-fortifee-saint.html

https://www.barnes-provence-littoral.com/fr/2023/le-village-d-ansouis-1650-418-0-0

https://dossiersinventaire.maregionsud.fr/dossier/IA84000178

 

 

 

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