La chapelle Notre-Dame de Caderot de Berre-l’Etang

LES TÉMOINS DU PASSÉ

LA CHAPELLE NOTRE-DAME CADEROT

DE BERRE-L’ETANG

La Chapelle Notre-Dame de Caderot

Blason de la ville de Berre-l’Étang

TYPE : chapelle.

STYLE : roman.

NOM LOCAL : chapelle Notre-Dame de Caderot.

CULTE : catholique.

VOCABLE : Notre-Dame.

ÉPOQUE : Haut Moyen Âge.

PÉRIODES DE CONSTRUCTION : XIIIème, XVIIème siècles.

PROTECTION : inscription par arrêté sur la liste des Monuments Historiques le 16 décembre 1974.

ÉTAT DE CONSERVATION : l’édifice a été détruit et reconstruit à plusieurs reprises durant les Guerres de Religions et les invasions successives.

PROPRIÉTAIRE : propriété d’une association.

LONGUEUR DE LA CHAPELLE : 32 mètres.

MAÇONNERIE : appareil moyen, pierres de taille et à bossages.

En architecture, le mot appareil (opus en latin) désigne la façon dont les moellons, les pierres de taille ou les briques sont assemblés dans la maçonnerie. On trouve aussi : petit, moyen et grand appareils.

La pierre de taille est une pierre naturelle dont toutes les faces sont dressées.

La pierre à Bossage est une pierre présentant des bosses sur la surface extérieure. Cette particularité donne ainsi au mur un aspect brut. Elle permet aussi l’économie d’une surface à tailler, en réduisant le coût du travail de l’ouvrier.

COMMUNE : Berre-l’Etang.

DÉPARTEMENT : Bouches du Rhône.

RÉGION : Provence-Alpes-Côte d’Azur.

La chapelle étant fermée à la visite le jour de notre venue, je n’ai pas pu prendre de photos de l’intérieur.

LOCALISATION

La Chapelle Notre-Dame de Caderot

La chapelle Notre-Dame de Caderot est située sur la commune de Berre-l’Etang, dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

BERRE L’ETANG

Rognac et Berre-l’étang

Berre-l’Étang est une commune française du département des Bouches-du-Rhône. La ville est située sur une plaine alluviale formée par l’embouchure de la rivière Arc, et en bordure de l’Etang de Berre. Elle se trouve sur la face Est d’une pointe avancée qui sépare le petit étang de Vaïne de l’étang principal.

Toute la rive droite de l’Arc est agricole, alors que la rive gauche est presque entièrement envahie par les installations pétrochimiques qui ceinturent la ville.

Le climat méditerranéen est plutôt doux, mais souvent venté par le mistral qui souffle fort. Grâce aux canaux qui drainent ses sols, Berre-l’Etang est devenu le premier territoire français de production de fruits et de légumes sous serre.

En 2022, sa population s’élevait à 13 941 habitants, les Berroises et les Berrois.

ESCAPADES BUCCO-RHODANIENNES

La chapelle Notre-Dame de Caderot de Berre-l’Etang  se situe à 14,2 km de la chapelle Saint-Cyr de Lançon-Provence, à 18,2 km de la chapelle Saint Julien de Miramas-le-Vieux, à 18,6 km de Cornillon-Confoux, à 28,5 km de l’église Saint-Michel de Lambesc,  à 29,7 km de la chapelle du Sonnailler d’Auron, à 30,3 km du temple romain de Diane de Vernègues, à 30,6 km de la chapelle Saint-Jean d’Alleins, à 32,4 km de la chapelle Saint-Denis de Rognes, à  33,9 km de la villa romaine Grassi d’Aix en Provence, à 34,1 km de la cathédrale Saint Sauveur d’Aix en Provence, à 39,4 km de l’Abbaye Saint-Victor de Marseille, à 40,2 km de l’abbaye de Silvacane, à 52,2 km de la chapelle Saint-Pierre de Peynier et à 52,8 km de l’église Saint-Julien de Peynier, à 52,7 km du site antique  de Glanum, à 53,9 km de la chapelle du Saint Sépulcre de Peyrolles-en-Provence, à 70,1 km de l’amphithéâtre d’Arles, et à  74 km de l’Abbaye de Montmajour  (Sources Google Maps).

 

BERRE-L’ETANG, HISTORIQUE

La Chapelle Notre-Dame de Caderot

UNE HISTOIRE RICHE

La position stratégique de Berre l’Etang et de ses salins fut l’objet de nombreuses controverses et d’enjeux de pouvoir au cours des siècles.

De nombreuses fouilles archéologiques ont permis d’attester d’une présence humaine sur la commune entre la fin du 1er siècle et le VIème siècle après J-C. Les fouilles mirent au jour un bâtiment, probablement un sanctuaire religieux.

Dès l’an mil, la ville fut fortifiée et cernée par un mur d’enceinte. Une tour carrée subsiste toujours, ainsi qu’un vestige de chemin de ronde.

A partir du XIème siècle, « Berra » (Berre) devint une place forte dotée de remparts et de douves. Ce qui permit de protéger la récolte des marais salants à proximité.

Aux XIIème et XIIIème siècles, la seigneurie était la propriété de la famille des Baux (Guillaume, seigneur de Berre). En 1291, l’un des membres accorda la tenue de foires et marchés.

Au XVème siècle, la seigneurie fut érigée en baronnie en faveur de Charles du Maine.

Lors des Guerres de Religion, la ville fut assiégée par le duc de Savoie, de mars 1589 à août 1591. A cette époque, le rempart Ouest de la ville était constitué par les façades des maisons du quartier de « Callongue ». Cette portion de rempart fut attaquée par le Duc de Savoie aux canons, créant ainsi une brèche. Le mardi 20 août 1591, la garnison de Berre décida de se rendre.

Au XVIIème siècle, Berre l’Étang passa au Duc de Beaufort, puis en 1715, au Duc de Villars. La ville demeurera sous l’autorité des Gallifet de 1770 jusqu’à la Révolution.

A la fin de la Première Guerre Mondiale, un centre d’école de pilotage de l’aviation maritime fut créé aux abords de l’étang de Berre. Dans les années 20, il donnera naissance à la base aéronavale.

Dès lors, la base aérienne va connaître une forte activité. Vers la fin des années 30, on comptera environ 3600 marins, soit, à cette époque, la moitié de la population de Berre l’Étang.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ville fut occupée par les Allemands. Un projet de création du plus grand aérodrome du sud de l’Europe fut envisagé sur la commune de Berre-l’Étang par le Gouvernement de Vichy. Le chantier devait exproprier 229 propriétaires (de l’embouchure de l’Arc au nord, des hameaux de Mauran et de Saint-EstèveJanson à l’est, et des sorties de l’Étang de Drignon au sud, et jusqu’aux confins des salins « route du Grand Port »). L’aérodrome ne vit jamais le jour.

C’est en 1972 que la base aérienne cessera toute activité militaire, pour devenir en 1997 un complexe sportif.

En 1978 et 1979 eut lieu une mobilisation contre l’installation par Shell d’une usine de PVC. Une manifestation se déroula le 24 février 1979, soutenue par le maire Roger Martin (PCF). En mars 1979, l’État signa toutefois l’arrêté autorisant l’installation. En 1998, l’usine fut revendue au groupe japonais Shin-Etsu.

La ville est aussi reconnue pour son remarquable emblème médiéval : un lion à deux queues, symbole de puissance.

HISTORIQUE DE LA CHAPELLE DE CADEROT

LA LÉGENDE

La légende raconte qu’un taureau, à bout de souffle après avoir traversé l’étang de Berre à la nage, soit venu se prosterner au pied d’un petit genévrier (ou arbre de Cade, appelé « Caderot » en provençal), sous lequel étaient enterrées des reliques de la vierge Marie (ce qui aurait donné son nom à la chapelle chrétienne).

C’est le monument le plus ancien de la ville. Il fut bâti sur les ruines d’un temple païen ; ses origines proviennent d’une possible modification d’un temple de « « Mithra » (Dieu taureau) en chapelle chrétienne. L’édifice est déjà attesté au IIIème siècle de notre ère. C’est alors une église paroissiale implantée sur le lieu-dit de « Cataruscum ».

LE CLIN D’ŒIL 

L’origine du mot « Caderot » provient de « cadaroscum », signifiant « bosquet de petits genévriers ». En provençal, « cadé » signifie « petit genévrier », une plante qui symbolise depuis l’Antiquité « le secours ». Lors des épidémies de peste, on brûlait à Berre ses graines pour purifier les maisons, le mobilier, le linge, et même les gens.


LE MYTHE DE « MITHRA »

Chez les Romains, une mythologie concernant le dieu Mithra fut élaborée. Le Dieu devint le sauveur et le régénérateur du monde (spécialement par le sacrifice d’un taureau, « tauroctonie », dont le corps permettait le renouveau de la nature). À l’origine, l’animal était sacrifié pour donner naissance au monde ; la création jaillissait du sang du taureau.

Notre-Dame de Caderot

Notre-Dame de Caderot se trouva alors transformée en lazaret (zone de quarantaine pour les marins venant de ports où sévissait la peste). Et devant la chapelle, deux larges tranchées furent creusées pour y entasser les cadavres recouverts de chaux. A la fin de l’épidémie, la tranchée fut comblée et on y planta quatre cyprès. Ces quatre cyprès seraient donc âgés de 300 ans… En janvier 2016, le plus gros mesurait 18 mètres de hauteur et 3,73 mètres de circonférence, à 1,3 mètre du sol.

Un mémorial en hommage aux victimes fut érigé dans le jardin de Caderot en septembre 1993. Aujourd’hui, ces ossuaires font l’objet d’une cérémonie du souvenir le 16 août de chaque année (date de la disparition de la peste en 1721).

PESTE, CHOLÉRA, GRIPPE ESPAGNOLE… La PROVENCE MEURTRIE PAR LES GRANDES ÉPIDÉMIES

La peste de Marseille

LA PESTE DE 1720, A MARSEILLE D’ABORD…

À l’origine de cette dernière contagion, le Grand Saint-Antoine, un navire marchand en provenance du Levant (une contrée de la Syrie). Il accosta à Marseille le 25 mai 1720. Il transportait une cargaison d’étoffes, de balles de coton et de soieries, le tout destiné à la Foire de Beaucaire.

Mais la cargaison était contaminée par le bacille de la peste. Le Grand Saint-Antoine fut donc reconnu comme responsable de la pandémie.

Jean-Baptiste Chataud, né à Marseille le 14 octobre 1681[1] et mort le 17 novembre 1728, est le capitaine du navire le Grand Saint Antoine qui a introduit la peste à Marseille et dans toute la Provence à partir de 1720.

La pistole du Commandant du Grand Saint-Antoine, au château d’If

Lire : le Château d’If

Cette tragédie fut la conséquence de graves négligences humaines, mais aussi économiques. Certains notables marseillais avaient des intérêts liés au déchargement rapide de la cargaison du navire. Une partie de celle-ci fut débarquée malgré un dispositif très rigoureux de mise en quarantaine des passagers et des marchandises.

La danse macabre à la Chaise-Dieu

La peste de Marseille débuta le 20 juin 1720, et s’étendit hors de la ville à partir du 21 juillet 1720.

La maladie se propagea comme une « trainée de poudre » dans Marseille, où elle fera entre 30 et 40 000 morts, soit près de la moitié des habitants. Le 31 juillet 1720, le parlement d’Aix ordonna aux Marseillais l’interdiction de sortir de la ville, et aux Provençaux de communiquer avec eux.

Le futur Cours Belsunce lors de la peste de 1720

EN PROVENCE…

Dès le 21 juillet 1720, la peste fit un bond d’une vingtaine de kilomètres à l’est de Marseille, pour atteindre Cassis. Le 1er août, elle arriva à Aix-en-Provence et à Apt, à respectivement 30 et 80 km au nord. Presque toutes les localités sur l’axe nord, de Marseille à Apt, furent affectées.

Le 02 août, la catastrophe atteignit Vitrolles. Sur 770 habitants, 257 furent frappés par la maladie, et 210 en moururent. Épouvantée, la population se réfugia dans les collines et sur le plateau de l’Arbois.

Au 15 août, on dénombra une dizaine de cités contaminées, certaines très éloignées, comme Sainte-Tulle.

Le 19 août, une ordonnance du Parlement d’Aix en Provence intima l’ordre à la population vitrolaise, alors dispersée, de retourner dans son village et de quitter le plateau de l’Arbois, menaçant de peine de mort toute personne abritant des réfugiés.

Malgré le blocus du village de Vitrolles, l’épidémie se propagea tout autour de l’étang de Berre. À Rognac, on dressa des « barricades » gardées aux entrées du village, notamment sur le chemin de Marseille (la D113 actuelle) et sur le chemin des Passadouires, allant de Rognac à Berre.

Barricades : terme qui fut employé à l’époque pour désigner des barrages faits de planches et de matériaux divers.

Il fallait interdire toute entrée et sortie du village. Les communes limitrophes furent prévenues de la mise en place de « billettes », sortes de laissez-passer en cas de nécessité.

À Rognac, l’épidémie se déclara officiellement le 06 septembre 1720. On rapporte que « La peste de 1631 décima 14% de la population rognacaise, celle de 1720-1721 en tua près de 47% ».

1720-1721, LA PESTE A AIX EN PROVENCE…

En août 1721, soit un an après le début de l’épidémie, la ville d’Aix en Provence fut considérée comme étant délivrée de la pandémie.

Ex-voto du Sacré-Choeur pour la cessation de la Peste de 1720. École française du XVIIIème siècle. Vœux de l’Évêque de Belsunce et des Consuls.
Église Notre-Dame de l’Assomption de Puyricard

Au total, 7511 personnes seraient mortes de la peste, sur une population d’environ 20 000 habitants. Un tiers de la population aixoise de l’époque a succombé au fléau, qui aura duré un an.

Fin août, elles seront une vingtaine, dont Toulon.

En septembre, la peste s’approchait de Digne.

Elle semblait avoir atteint les limites de sa progression : à Avignon à l’ouest, et à Toulon à l’est. Mais en octobre, la Durance fut franchie à Pertuis.

En novembre, la peste atteignit Arles et Saint-Rémy-de-Provence ; et en décembre, Tarascon.

Le 14 septembre 1720, afin d’éviter la propagation de l’épidémie, le Conseil du Roi promulgua un arrêt mettant en quarantaine toute la Provence. Mais la peste reprit son intensité au printemps 1721, pour s’éteindre progressivement l’année suivante.

En janvier 1721, Toulon fut à nouveau touché, cette fois par l’épidémie de Bandol. À l’ouest, on la signala dans le Gévaudan.

Après une pause de deux mois, la peste reprit au printemps 1721 autour de Toulon et d’Arles, et s’étendit à la Camargue. En été, elle toucha Avignon, Orange et tout le Comtat Venaissin. En automne, elle frappa le Languedoc, puis Mende, Uzès, Alès, Marvejols et Viviers. Elle fut interrompue par l’hiver.

Elle reprit au printemps 1722, mais plus faible, n’impactant que deux cités près d’Avignon et d’Orange. La peste sembla même reprendre à Marseille, mais tout prit fin au cours de l’été. Ailleurs, le dernier cas provençal de peste se termina en Avignon le 2 octobre 1722, et celui du Languedoc à Chasserades, le 25 décembre 1722.

Au total, l’épidémie de peste de 1720-1722 toucha 242 communautés de Provence, du Comtat Venaissin et du Languedoc. Elle fit près de 120 000 victimes sur les 400 000 habitants que comptait la Provence à cette époque, soit près d’un tiers de la population.

LA PROVENCE ENTRE PESTE ET CHOLÉRA

C’est aux alentours de 1820 que le choléra, jusqu’alors borné à l’Asie, partit d’Inde et se répandit à travers le monde. Lors de la deuxième pandémie du siècle, qui s’étala de 1829 à 1837, il atteignit la Perse et la mer Caspienne, se dirigea vers Moscou et Varsovie, partit de la Mecque vers l’Égypte puis l’Europe.

La France fut touchée en 1832. À Paris, le premier cas fut avéré le 26 mars. Le 7 avril, 1 853 malades du choléra furent recensés ; l’épidémie fit près de 19 000 morts en six mois.

Marseille fut touchée un peu plus tard (le 7 décembre 1834 apparut le premier cas de choléra) avec un grand nombre de victimes.

Le 26, plusieurs quartiers furent touchés. 10 à 12 000 habitants quittèrent la ville. Cette première épidémie fit 865 morts, suivie par une seconde qui emportera 2 500 personnes…

Au mois de juillet 1835 le choléra, qui sévissait depuis six mois dans le Midi de la France, atteignit Aix-en-Provence. En six semaines, sur une population de 22 575 habitants, il toucha 560 personnes, dont 333 moururent.

En 1853-1854, une nouvelle épidémie toucha la France, faisant 143 468 victimes. Partie de Paris, elle se répandit à partir de deux foyers principaux : la Haute-Marne et la Haute-Saône d’une part, les Bouches-du-Rhône d’autre part. Lors de cette troisième pandémie, la Provence fut à nouveau particulièrement meurtrie.

Une dizaine d’années plus tard, la Provence sera de nouveau touchée par une quatrième pandémie de choléra ; puis par une cinquième.

XXème siècle

Le 11 juin 1909, plusieurs villages au nord d’Aix en Provence furent touchés par un séisme d’une magnitude évaluée à 6,2 sur l’échelle de Richter. Il provoqua la mort de 46 personnes dans tout le département des Bouches-du-Rhône, et occasionna de nombreux dommages. Aix échappa à de grosses destructions.

1920, LA GRIPPE ESPAGNOLE…

A la fin de la Première Guerre mondiale, la Provence est affaiblie. Les milliers de morts et de blessés ont « saigné » des départements ruraux comme les Basses Alpes et le Vaucluse. A l’arrière, durant les quatre années du conflit, l’existence fut très rude. Elle va l’être encore longtemps. Les mesures de rationnement et les hausses des prix vont être multipliées par quatre (la viande et le charbon seront intouchables).

C’est dans ce contexte d’extrême fragilité sanitaire que la Provence va être touchée de plein fouet par la pandémie de « grippe espagnole ». Appelée à tort, car le fléau est arrivé des USA, avec les « Sammies », en mars 1918. L’Espagne (un des rares pays européens qui n’a pas pris part au conflit) sera la première nation à publier des renseignements sur la propagation de l’épidémie.

En Provence, la situation devient vite dramatique: des villes entières, comme Marseille mais aussi Nice, sont paralysées autant par la maladie que par la crainte ; une véritable panique s’installe.

UN BILAN TRÈS LOURD

La « grippe espagnole » tua en France de 125 000 à 250 000 civils et plus de 30 000 militaires (chiffres estimatifs, car les données épidémiologiques furent sommairement enregistrées en raison de la guerre).

LA CHAPELLE NOTRE-DAME DE CADEROT

DE BERRE-L’ETANG

Notre-Dame de Caderot

LA FAÇADE D’ENTRÉE

LE CHEVET

LE CLOCHER

LES FAÇADES ET LES CONTREFORTS

Sources :

Mes photos

Photos publiques Facebook

https://monumentum.fr/monument-historique/pa00081226/berre-letang-chapelle-notre-dame-de-caderot

https://fr.wikipedia.org/wiki/Berre-l%27%C3%89tang

https://www.aixendecouvertes.com/epidemie-peste-aix-1720/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Grippe_espagnole

https://lestetardsarboricoles.fr/wordpress/2016/06/15/les-cypres-de-caderot-a-berre-letang-bouches-du-rhones/

https://www.berreletang.fr/fleurdetang-caderot

https://www.berreletang.fr/les-monuments-historiques

https://www.visite.fr/berre-letang-chapelle-notre-dame-de-caderot-205499.html

 

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