L’abbaye de Léoncel

LES TÉMOINS DU PASSÉ

L’ABBAYE DE LÉONCEL

Abbaye de Léoncel

Ordre cistercien

TYPE : abbaye cistercienne.

STYLE : roman provençal et pré-gothique.

L’art roman provençal présente comme caractéristique d’être fortement influencé par l’antiquité romaine, en se référant aux nombreux vestiges romains subsistants en Provence.

On trouve comme style d’architecture :

Des porches évoquant un arc de triomphe, des frontons triangulaires, des entablements à l’antique constitués d’une architrave, d’une frise et d’une corniche, des colonnes cannelées, des pilastres cannelés, des chapiteaux à feuilles d’acanthe, des bas-reliefs décorés de rinceaux et des triglyphes.

On distingue également divers types de frises :

Des frises de feuilles d’acanthe, de rinceaux, de palmettes, d’oves, et de grecques (variante de la frise de méandres) 

NOM LOCAL : abbaye de Léoncel.

VOCABLE : Sainte-Marie.

CULTE : catholique.

ÉPOQUE : Moyen Âge.

PÉRIODE DE CONSTRUCTION : fin du XIIème, et XIIIème siècle.

FONDATION : 1137.

ABBAYE MÈRE : Abbaye de Bonnevaux.

DIOCÈSE : diocèse de Valence.

ORDRE : Cistercien.

L’ORDRE CISTERCIEN 

Vers le 12ème siècle, l’ordre monastique clunisien est à son apogée. Il se manifeste ostensiblement par sa puissance, sa gloire, et sa richesse. Un moine, du nom de Robert de Molesme, décide alors de revenir à la règle stricte de Saint Benoît, écrite en 534. Celle-là même qui prône l’humilité, l’obéissance, la pauvreté, et le juste équilibre entre le travail et la prière. En 1098, il fonde le monastère de Cîteaux, près de Dijon, qui donnera son nom au nouvel ordre (Cistercien). A partir de 1109, Étienne Harding codifie la règle cistercienne.

DISSOLUTION : 1790.

PROTECTION : classement sur la liste des Monuments Historiques en 1840.

PROPRIÉTAIRE : la commune.

COMMUNE : Léoncel.

DÉPARTEMENT : Drôme.

RÉGION : Auvergne-Rhône-Alpes.

LOCALISATION

Abbaye de Léoncel

L’abbaye Sainte-Marie de Léoncel est une ancienne abbaye cistercienne française fondée en 1137 sur la commune de Léoncel.

LÉONCEL

Abbaye de Léoncel

Léoncel est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Devenue « Leoncel » en 1793, la localité a changé encore d’appellation en 1854 pour devenir « Léoncel ». Depuis le 1er janvier 2017, la commune relève de l’arrondissement de Die, et non plus de celui de Valence.

En 2021, sa population s’élevait à 46 habitants, les Cellynoises et les Cellynois.

La commune est située à 21,2 km de l’église Saint Clair de la Motte Fanjas, à 28 km au sud-est de Romans-sur-Isère, à 29,2 km de la collégiale Saint Barnard de Roman sur Isère, à 29,5 km de l’église Saint Martin d’Hostun, à 33 km du château de l’Arthaudière, à 35,7 km de Valence, à 42 km de Saint Antoine l’Abbaye, et (sources google maps).

PRÉSENTATION

Abbaye de Léoncel

En 1137, douze moines venus de l’abbaye de Bonnevaux fondèrent le monastère de Léoncel. Les travaux de construction ne commencèrent qu’en 1150, et en 1188, la première église fut consacrée. Jusque vers 1230, l’édifice fera l’objet de plusieurs campagnes successives d’aménagement.

En 1194, une Charte d’union fut créée avec le prieuré de la Part-Dieu, à Chatuzange (à 20 km de Valence). Cette charte amena à la formation d’une abbaye qui administrait, en fonction des saisons, les moines dans deux endroits de culte différents. En hiver, la Part-Dieu accueillait les moines, tandis que la vie monastique reprenait à Léoncel en été.

Les fondateurs de l’abbaye choisirent un site stratégique, situé à 900 m d’altitude dans un val du Vercors. Les cols donnant accès à la plaine de Valence, la proximité du col de la Bataille et du partage des eaux entre Isère et Drôme, accentuèrent la qualité de l’endroit. Les moines fondateurs prirent en considération la présence de l’eau, vitale pour le fonctionnement d’un moulin, mais aussi indispensable pour la survie de la communauté. Leur choix se porta sur ce lieu qui disposait de vastes pâturages et de forêts, partout présents sur la montagne et les plateaux autour de Léoncel.

Au XIIIème siècle, l’abbaye atteignit rapidement son apogée temporel et spirituel.
Elle comptait alors 20 moines de chœur ainsi que 30 convers. Grâce au « système de granges », le centre gérait un immense domaine en montagne et en plaine. Devenu prospère suite à de
nombreuses acquisitions, le monastère attira la convoitise.

Au XIIème siècle, les moines cisterciens, imités par la suite par d’autres ordres monastiques, créèrent des « granges cisterciennes » (ou « granges monastiques »). C’étaient de grands bâtiments isolés destinés à abriter une activité collective, agricole ou industrielle, effectuée sur place par un groupe de moines détachés d’une abbaye. Les bâtiments chargés d’engranger les produits finis se transformèrent progressivement en véritables unités de production, avec des locaux d’habitation pour les frères convers.

HISTOIRE GÉNÉRALE

VIème siècle

Élaboration de la règle de Saint Benoît au Mont Cassin.

IXème-Xème siècles

800 : Charlemagne– Les Carolingiens imposent la règle bénédictine aux moines et la règle de Saint Augustin aux chanoines.

910 : fondation de Cluny.

950-1250 : réchauffement climatique, essor démographique. 

XIème siècle

« Réforme grégorienne » : restauration et réforme de l’Église et du clergé, apparition d’un nouveau monachisme.

1084 : fondation de la Grande Chartreuse.

1098 : fondation de Cîteaux par Robert de Molesme.

XIIème siècle

1112 : arrivée à Cîteaux de Bernard, futur abbé de Clairvaux.

1112-1119 : Étienne Harding rédige la Charte de Charité qui organise, entre autre, l’Ordre Cistercien et les relations entre abbayes. 

1119 : fondation de l’Ordre des Templiers.

1150 : fondation de l’Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

XIIIème siècle

Création des ordres mendiants (Franciscains, Dominicains, Carmes), dont le succès rend plus difficile le recrutement des frères convers par les Cisterciens et les Chartreux.

XIVème-XVème siècles

1337-1453 : Guerre de Cent Ans.

1348-1502 : Peste Noire. Très forte mortalité et grave crise économique.

1349 : transport du Dauphiné de l’Empire au Royaume de France.

1446 : rattachement du Comté de Valentinois au Royaume de France.

XVIème siècle

1545-1563 : Concile de Trente : Contre-réforme.

1562 : début des Guerres de Religion.

1598 : Édit de Nantes d’Henri IV, premier monarque absolu.

XVIIème siècle

Réforme de l’Ordre de Cîteaux. Débats entre les tenants d’une « étroite observance » de la Règle, et ceux de la « Commune observance », plus souple.

1666-1700 : l’abbé de Rancé impose à l’abbaye de la Trappe (Normandie) la « stricte observance ». Au XIXème siècle, elle sera adoptée par la plupart des Cisterciens français, appelés dès lors « Trappistes ».

1669 : Grande ordonnance de Colbert sur les forêts.

1685 : abolition de l’Édit de Nantes par Louis XIV.

XVIIIème siècle

1789 : Révolution Française. Abolition du droit féodal le 4 août. Abolition des ordres monastiques et interdiction des vœux. Mise en vente, en tant que Biens Nationaux, des biens du Clergé affermés, donnés en métayage ou conservés en faire-valoir direct (l’État conservera souvent les forêts dans son propre domaine : forêts domaniales).

1793 : fin du rachat des terres relevant du droit féodal.

Lire :

La Peste Noire

Guerre de Cent Ans.

Mercenaires, routiers et écorcheurs au Moyen Âge

L’Ordre des Templiers

Charlemagne

L’ABBAYE DE LÉONCEL ET SON HISTOIRE

Abbaye de Léoncel

XIIème siècle

1137 : fondation de l’abbaye de Léoncel par des Cisterciens de Bonnevaux.

– Domaine temporel exploité en faire-valoir direct par des frères convers.

Les frères convers représentaient ceux qui étaient chargés des travaux manuels. Les Convers n’étaient pas admis au chapitre et n’intervenaient pas lors des décisions importantes. D’où l’expression : « n’avoir pas droit au chapitre ».

– Implantation de l’abbaye : de la plaine de Valence au plateau d’Ambel, et du Royans à la vallée de la Gervanne.

1188 : l’autel de l’Abbaye est consacré.

1194 : intégration à l’abbaye de Léoncel de la communauté religieuse de la Part-Dieu (Plaine de Valence).

XIIIème siècle

1250-1300 : apogée de l’abbaye, en dépit des désordres féodaux (20 moines, 30 convers).

XIVème siècle

Période de troubles

– L’abbaye connaît les malheurs du temps : Peste Noire,routiers, Guerre de Cent Ans.

En 1389-1390, Raymond de Turenne saccage l’abbaye ; l’église seule reste intacte. Le cloître (sauf la galerie orientale) et l’aile des convers ne seront pas reconstruits.

– Les moines séjournent en plaine (Romans, la Part-Dieu) et confient leurs terres à des paysans.

– Mise en place de redevances, selon des contrats de droit féodal (albergement) ou plus modernes (fermage et métayage). Adoptant le faire-valoir indirect, l’abbaye devient une seigneurie ecclésiastique.

XVème siècle

1420 : reprise temporaire d’une vie « régulière » à l’abbaye, avec 10 moines.  Restauration des bâtiments, procès pour récupérer les terres aliénées.

XVI-XVIIème siècles

1567-1568 : Guerres de Religion, mise à sac de l’abbaye par les Huguenots.

1561-1681 : les abbés réguliers (élus par les moines) vivent le plus souvent hors de l’Abbaye.

– A la mort du dernier abbé Marc Girard de Riverie, le régime de la commende est instauré à l’abbaye.

La « commende » est l’usufruit d’un monastère, d’une église ou d’un évêché, accordé par le pape à un ecclésiastique ou à un laïc. Dès lors, l’abbaye associe deux lieux de vie autonomes.

– A la Part-Dieu, se succèdent quatre abbés commendataires nommés par le roi et confirmés, ou non, par le pape. Ils disposent de l’essentiel des revenus de la plaine.

– La communauté des moines, dirigée par un prieur claustral nommé par Cîteaux, occupe le monastère et l’espace montagnard, ainsi que le domaine du Conier, près d’Alixan.

XVIIIème siècle

Des procès opposent les abbés aux seigneurs voisins et les moines aux communautés villageoises, à propos des droits d’usages en forêt et sur les alpages.

1726 : visite à l’abbaye de l’abbé général de Cîteaux, qui exhorte les moines à retrouver les vertus d’autrefois.

La commission de Réformation des forêts exige des moines plus de rigueur et les punit (amendes). Ces exigences inquiètent et mécontentent les villageois.

1757-1777 : des moines séjournent en plaine de Valence (Montélier), ce qui laisse le champ libre aux villageois en forêt.

1765-1780 : la Commission des Réguliers souhaite réformer la vie monastique : l’existence de l’abbaye est menacée.

1777 : après enquête, elle décide la suppression de la communauté monastique de Léoncel, dont les trois derniers religieux menaient une existence sans respect de la règle. Son appartenance à l’Ordre de Cîteaux la sauve.

1790 : la communauté cistercienne très réduite (5 moines, dont trois présents à l’abbaye) disparaît en plaine comme en montagne. L’église n’est plus que paroissiale.

1790-1832 : l’État conserve l’essentiel des forêts, et vend comme « Biens Nationaux » quelques bois et les éléments du domaine exploités en fermage et métayage.

1793 : les anciens Albergataires deviennent propriétaires des biens qu’ils tiennent.

XIX-XXème siècles

1840 : l’église de Léoncel est inscrite sur la première liste officielle des Monuments Historique par Prosper Mérimée.

1854 : création de la commune de Léoncel.

1905 : séparation de l’Église et de l’État. L’église et la cure deviennent propriétés de la commune.

1974 : création de l’association des « Amis de Léoncel ».

L’EXTÉRIEUR

VUE GÉNÉRALE

LES BÂTIMENTS ABBATIAUX

L’abbatiale formait l’aile nord d’un ensemble clos. Selon la règle de Saint Benoît, à laquelle les Cisterciens comme tous les Bénédictins se réfèraient, moines et clercs devaient y vivre en communauté. Pour cela, divers bâtiments s’organisèrent autour du cloître : dortoir, réfectoire, cuisine, aile des convers…

Il ne demeure de cet ensemble que l’aile orientale, remaniée au XVIIIème siècle. Les volumes du cloître et des bâtiments monastiques détruits sont évoqués par les habitations contemporaines implantées au sud, sur les vestiges de l’aile des services (chauffoir, réfectoire, cuisine…), et à l’ouest, sur l’aile des convers.

A l’étage, les volumes du dortoir et de la chambre de l’abbé sont encore lisibles. En revanche, l’entrée de la salle capitulaire, ouverte sur la galerie du chapitre, a conservé sa structure médiévale.

LA FAÇADE OCCIDENTALE

La façade occidentale, dont l’appareil a été taillé dans du calcaire « urgonien » local, reproduit en élévation le plan traditionnel à trois nefs. Elle était à l’origine percée par deux portes.  Au nord, celle dite « des morts » faisait communiquer le bas-côté nord avec le cimetière. Au sud, celle dite « des vivants » (ou des profès) permettait aux frères convers d’accéder aux bâtiments conventuels (aujourd’hui disparus) qui leur étaient réservés.

L’« urgonien » est un faciès sédimentaire calcaire du Crétacé inférieur. Il se caractérise par une teinte très claire, blanche de préférence.

Le portail par lequel on pénètre aujourd’hui dans l’abbatiale a été ouvert au XVIIIème siècle, certainement lorsque l’église est devenue paroissiale. Les portes latérales ont alors été fermées.

Au niveau supérieur, la division tripartite est accentuée par le jeu des ouvertures en plein cintre : grandes baies axiales cantonnées de colonnettes à chapiteaux, et ouvertures latérales qui éclairent les bas-côtés.

L’art roman provençal se détermine par l’arc en plein cintre ou en berceau brisé reposant sur des murs épais et peu ouverts, consolidés par des contreforts. Il allie cette technique de construction fondamentale à des caractères plus régionaux, comme la simplicité des plans, l’harmonie des volumes, le dépouillement du décor, la perfection de la taille et de l’appareillage des pierres, et une référence profonde à l’Antiquité.

En architecture, l’arc plein cintre est un arc parfaitement semi-circulaire sans brisure. Il se distingue des arcs surbaissés et des croisées d’ogives. Constitués d’un appareil régulier, tous les moellons sont de même taille et de même forme

LES CONTREFORTS

LE CHEVET ET LE CLOCHER

Le chevet, de type bénédictin, se compose d’une abside pentagonale percée de trois baies en plein cintre. Deux absidioles semi-circulaires à fenêtre unique et axiale la cantonnent. Sur le mur sud, les ouvertures correspondant au percement des fenêtres de la salle capitulaire sont encore visibles…

Le clocher, qui n’est pas d’origine, est à deux étages. Le premier est percé sur ses quatre faces de baies géminées, dont les chapiteaux et les colonnettes proviendraient de l’ancien cloître. Le second étage, qui abrite les cloches, est ouvert par quatre larges baies en plein cintre. L’ensemble est couronné d’une flèche de pierre à huit pans, flanquée de quatre pyramidions.

Il porte une croix celtique qui a récemment remplacé une croix en métal. De type alpin, ce clocher est comparable à d’autres clochers de la région, et particulièrement à ceux du Royans-Vercors.

LE JARDIN

LE CIMETIÈRE

L’INTÉRIEUR

Plan de l’abbaye de Léoncel

LA NEF

LA CROISÉE DU TRANSEPT

Le chevet (transept, abside et absidioles) appartient au premier édifice. L’abside, semi-circulaire à l’intérieur, pentagonale à l’extérieur, est de tradition provençale. Elle est éclairée par trois baies identiques, et précédée d’une travée dans laquelle se tenaient les prêtres célébrants.

Le chœur monastique, où se trouvaient les stalles, occupait les trois premières travées de la nef. La croisée du transept est couverte d’une coupole octogonale montée sur trompes. Elle est percée à l’est d’un oculus, aggrandi au XVIIIème siècle, et orientée dans l’axe du soleil levant du jour de l’Assomption de la Vierge (le 15 août, fête patronale de l’église).  

Le cercle de l’oculus symbolise l’unicité de Dieu, et les trois fenêtres La Trinité. Le chiffre huit du plan de la coupole évoque le huitième jour, celui de la Résurrection du Christ. Enfin, le carré (plan du transept et des piliers…) exprime les quatre éléments du monde, c’est-à-dire la Création.

LES BAS-CÔTES

Les bas-côtés, lieux de passage et de processions, sont éclairés par de hautes baies ouvertes à l’ouest. Selon la tradition cistercienne, ces bas-côtés sont étroits et voûtés en berceaux rampants. Des arcatures aveugle renforcent, tout en donnant du rythme, les murs gouttereaux.

Un mur gouttereau (ou goutterot) est, en architecture, le mur soutenant une gouttière (ou un chéneau) terminant le versant de toiture et recevant les eaux, par opposition au mur pignon.

La première abbatiale devait être à nef unique. Le solin (dispositif visant à assurer l’étanchéité, en différents endroits d’une construction) de sa toiture à deux pans est conservé sur les quatre côtés de la base du clocher. Ce n’est qu’à la fin du premier tiers du XIIIème siècle que l’église a été agrandie et la nef surélevée. L’étage de claires-voies et la voûte appartiennent à la dernière campagne de construction. Ce changement de programme est lié à l’essor économique de la communauté.

On accède aujourd’hui au sanctuaire de la fin du XIIème siècle depuis le bas-côté, par l’un des accès d’origine appelé « porte des morts ». Construite sur le même modèle que la porte méridionale, elle est formée d’un linteau monté sur des corbeaux, et d’une arrière voussure (courbure d’une voûte ou d’un arc) en plein cintre.

LE CHRIST

Le Christ en bois réalisé au XIXème siècle par Ménétrier, sculpteur romanais, est la copie d’une œuvre catalane du XVIIIème siècle. Selon la tradition, il est représenté vivant (il a les yeux ouverts et crie) et mort (il a le côté transpercé).

Sa particularité est de montrer deux profils différents : à droite le Christ est souffrant, à gauche il paraît apaisé. Ce dernier était placé sur la poutre de gloire qui marquait l’entrée du chœur liturgique.

LES COLONNES ET LES CHAPITEAUX

LES OUVERTURES SUPÉRIEURES

Sources :

Mes photos

Photos publiques Facebook

Cet article contient des infos recueillies sur des panneaux explicatifs affichés sur le parcours de la visite du site, à l’attention du visiteur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_L%C3%A9oncel

https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9oncel

https://www.leoncel-abbaye.com/

https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00116972

 

 

Donnez votre avis sur l'article

commentaire(s)

Ecrit par le .

Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

CommentLuv badge