Jeanne d’Arc, de Domrémy à Chinon
LA GUERRE DE CENT ANS
De 1337 à 1453
LES VALOIS DIRECTS
JEANNE D’ARC, DE DOMRÉMY A CHINON
NAISSANCE
Jeanne d’Arc, dite « la Pucelle », naît vers 1412 à Domrémy (village du duché de Bar, actuellement dans le département des Vosges, en Lorraine). Sa date exacte de naissance demeure historiquement incertaine, mais l’année 1412, quoiqu’approximative, est retenue par estimation. Elle meurt sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen (capitale du duché de Normandie, alors possession anglaise).
C’est une héroïne de l’histoire de France, chef de guerre et sainte de l’Église catholique, surnommée à titre posthume « la Pucelle d’Orléans ».
Au début du XVème siècle, cette petite bergère affirme qu’elle a reçu de la part des saints Michel, Marguerite d’Antioche, et Catherine d’Alexandrie, la mission de délivrer son pays et de bouter les Anglais hors de France.
Elle parviendra, à force d’insistance, à rencontrer le roi de France Charles VII, et à mener à la victoire les troupes françaises contre les armées anglaises.
Elle lèvera le siège d’Orléans, et conduira le roi Charles VII au sacre, à Reims, contribuant ainsi à inverser le cours de la Guerre de Cent Ans.
LOCALISATION
Domrémy-la-Pucelle est une commune française située dans le département des Vosges, en Lorraine. La commune de l’arrondissement de Neufchâteau fait aujourd’hui partie de la région administrative Grand Est.
Domrémy-la-Pucelle est célèbre pour être la patrie de Jeanne d’Arc. À son époque, la commune était rattachée au village voisin de Greux, situé 1 km plus au nord.
PLUSIEURS QUESTIONS SE POSENT …
C’est elle-même qui l’affirme avec force les 22 et 24 février 1430 à Rouen : « Je n’ai jamais gardé les brebis et autres animaux ». – Connaissait-elle, à son jeune âge, le métier des armes et savait-elle monter à cheval ? Il faut croire que oui ! Elle a mené toutes ses batailles à cheval… Mais d’où lui venait ce don, cette habileté équestre, cette endurance ? De l’archange Michel, probablement ! Comment expliquer autrement l’apparition soudaine de tous ces talents chez « une pauvre paysanne qui ne savait ni monter à cheval, ni conduire une guerre », comme elle le déclarera elle-même à ses juges ? – Était-elle illettrée comme l’étaient à l’époque tous les gens de sa condition ? Certainement pas. Le 1″ mars 1430, Jeanne affirme qu’elle « n’a jamais écrit ni fait écrire ». Pourtant, le 2 mai, elle demande qu’on lui donne un messager et qu’elle écrira à l’archevêque de Reims… Le 24 février, déjà, l’accusée avait demandé aux juges qu’on lui donnât par écrit les points sur lesquels maintenant elle ne répondait pas. Or, à ce moment-là, elle était détenue… qui pouvait donc lire ou écrire pour elle ? Enfin, l’article 28 de l’acte d’accusation affirme que le 22 août 1429 : « Jeanne a répondu au comte d’Armagnac par des lettres signées de sa main ». Il faut bien se rendre à l’évidence : Jeanne sait lire et écrire. On en trouve une preuve supplémentaire dans ses lettres rédigées dans un français de France qui n’a rien à voir avec le patois de Domrémy.
LA FRANCE A L’AVÈNEMENT DE JEANNE D’ARC
DE DOMRÉMY A CHINON
CHRONOLOGIE
LA PETITE BERGÈRE DES BORDS DE MEUSE
1412
Naissance de Jeanne, fille de Jacques d’Arc et d’Isabelle Romée, à Domrémy, un petit village des Vosges à la frontière de la Lorraine et du Barrois.
Vers 1425
C’est la période où Jeanne commence à entendre des voix. Elle perçoit d’abord celle de l’archange Saint Michel, puis celles de Sainte Catherine d’Alexandrie et de Sainte Marguerite d’Antioche.
Pendant quatre années, elles lui indiquent comment « bien se diriger », et lui ordonnent « d’aller en France » pour délivrer le royaume, occupé dans sa presque totalité, par les Anglo-Bourguignons. Domrémy se trouve au-delà des possessions Anglaises et Bourguignonnes, à la frontière avec le Saint Empire. (Voir la carte ci-dessus).
La seule personne qui est dans la confidence, c’est son oncle Durand Laxart.
1428
En hiver
Lorsque Jeanne a connaissance du siège d’Orléans, en décembre 1428 ou en janvier 1429, ses « voix » se montrent beaucoup plus insistantes.
Jeanne demande alors à son père l’autorisation d’aller à Burey, un village situé près de Domrémy, sous le prétexte d’aider aux relevailles d’une cousine germaine, également prénommée Jeanne.
Sans permission parentale, Jeanne se rend avec son oncle à Vaucouleurs qui est située à une vingtaine de kilomètres de Domrémy. Elle demande audience à Robert de Baudricourt, le seigneur local, en vue d’obtenir de lui la lettre de crédit qui lui permettrait d’aller à la Cour.
La rencontre avec le capitaine Baudricourt est vite réglée. Celui-ci la prend pour une affabulatrice ou une illuminée, et, après lui avoir donné une bonne gifle, recommande à Laxart de la ramener chez ses parents. L’entretien échoue donc, et Jeanne retourne dans sa famille.
ROBERT DE BAUDRICOURT
Il est le fils de Liébaud de Baudricourt (chevalier et chambellan du roi), petit-fils de Jean de Baudricourt (écuyer), et de Marguerite d’Aulnay (dame de Blaise, petite-fille de Philippe d’Aunay). Celui-ci, amant de Marguerite de Bourgogne, fut impliqué dans le scandale de la Tour de Nesle. Il est également conseiller et chambellan du duc de Bar René d’Anjou. En 1415, il est nommé capitaine de Vaucouleurs, une châtellenie du duché de Bar dont dépendait le village de Domrémy. Il sera seigneur de Baudricourt (Vosges), de Blaise (Haute-Marne), de Bussy (Marne), et de Sorcy (Meuse). De 1420 à 1429, avec l’aide de son ami et allié Robert de Sarrebruck (seigneur de Commercy), il combat les Anglo-Bourguignons. Ce militaire, fidèle serviteur du roi Charles VII, reste connu pour avoir fourni une escorte à Jeanne d’Arc afin qu’elle se rende à Chinon rencontrer le Dauphin Charles. Le 13 mai 1428, Robert de Baudricourt (gouverneur du roi à Vaucouleurs) reçoit une jeune fille de 16 ans venue de Domrémy, en Lorraine. Vaucouleurs est alors une garnison française située aux confins des terres du duc de Bourgogne (allié aux Anglais) et du duché de Lorraine (dépendant du Saint-Empire romain germanique). Cette jeune fille s’appelle Jeanne d’Arc. Elle a fait un long voyage jusqu’à Vaucouleurs pour rencontrer Robert de Baudricourt. Elle lui demande une escorte pour qu’elle puisse se rendre à Chinon auprès du roi Charles VII. Après un premier refus en mai 1428 ou janvier 1429, Baudricourt finit par céder en février 1429. Il aurait prononcé ces paroles : « Va… va et advienne que pourra ».
En mai
Le maréchal de Bourgogne Antoine de Vergy, allié des Anglais, assiège Vaucouleurs. Les habitants de Domrémy (village de la Pucelle, tout proche) fuient pour éviter d’être capturés et massacrés. Une fois le siège levé, ils retournent chez eux, mais leur village est dévasté.
En juillet
La pression des voix se fait de plus en plus insistante. Elles demandent à Jeanne de retourner à Vaucouleurs. Baudricourt est tenté de la repousser une fois encore, mais il commence à douter, et la prend plus au sérieux.
En hiver
Baudricourt rend compte au dauphin Charles de la visite de Jeanne et de sa présence. Il demande des ordres sur la marche à suivre concernant cette jeune bergère. Celle-ci passe son temps à faire de nombreux aller-retour entre Vaucouleurs et Domrémy. A la demande du duc de Lorraine, Jeanne aurait même effectué un voyage jusqu’à Nancy, celui-ci désirant bénéficier de ses dons de guérisseuse. La renommée de « la Pucelle » ne cesse de grandir !
1429
Le 12 février
LA JOURNÉE DES HARENGS
Malheureusement, bien qu’en nette supériorité numérique (environ 3000 hommes contre 1500 anglais), les troupes franco-écossaises sont sévèrement battues, et doivent reculer en abandonnant sur place de nombreux morts. Explosées par les boulets de canon anglais, les charrettes répandent sur le sol leur cargaison de harengs. Après cette défaite (qui sera connue sous le nom de journée des harengs), la capitulation d’Orléans semble inévitable. Ce qui précipiterait dans le néant les chances de Charles VII de recouvrer le trône de France.
Le 13 février
Le dauphin Charles dépêche un messager à Vaucouleurs, pour remettre à Baudricourt une lettre lui enjoignant de mener Jeanne à Chinon.
A cheval, portant des habits d’hommes et coiffée « à l’écuelle » (coupe au bol, ou coupe en sébile), Jeanne quitte Vaucouleurs et prend la route de Chinon, escortée par six hommes.
CHINON !
Le 4 mars
Jeanne et ses gens arrivent à l’aumônerie de Sainte-Catherine-de Fierbois, près de Tours (Indre-et-Loire). Il est fort probable que Jeanne d’Arc si soit arrêtée pour une halte, pendant sa chevauchée vers Chinon.
C’est depuis cette étape qu’elle envoie au dauphin sa première lettre pour lui demander de la recevoir.
Le 6 mars
La Pucelle met pied à terre à l’Ile-Bouchard le 6 mars 1429. Elle pénètre dans la vieille église Saint-Gilles. Jeanne assiste à la messe, en priant avec ferveur Saint Gilles (le Patron des lieux), Sainte Catherine (d’Alexandrie), Sainte Marguerite (d’Antioche), et surtout la Vierge Marie, à laquelle elle offre un cierge.
Elle passe à l’Ile-Bouchard la dernière nuit de sa longue chevauchée depuis Vaucouleurs. Elle loge dans une maison proche de l’église. Enfin, le dimanche matin 6 mars 1429, Jeanne remonte à cheval pour la dernière étape qui doit la mener à Chinon.
Le 8 mars (ou selon d’autres sources le 25 février)
Jeanne est reçue dans la salle d’audience du château de Chinon. Elle pénètre au milieu d’une foule circonspecte et interrogative. Elle porte ses habits d’homme de couleur sombre.
On la conduit vers le dauphin qu’elle ne reconnaît pas. En fait, on lui a tendu un piège, une autre personne a pris la place du roi sur le trône. Celui-ci s’est dissimulé parmi les notables de l’assemblée. Il ne peut se cacher longtemps, car Jeanne accourt vers lui et se précipite à ses pieds, en l’appelant « gentil dauphin ». S’ensuit un bref entretien privé dont on n’a jamais su le contenu. Mais dès sa sortie, Charles n’est plus le même ; la petite bergère vient de le convaincre… A dater de ce jour, le roi lui accordera toute sa confiance…
LA LÉGENDE
Elle ne le sera que deux jours plus tard, non pas dans la grande salle de la forteresse royale, mais dans ses appartements privés. C’est au cours de cette entrevue elle lui transmet son message, et lui parle de sa mission.
Le 14 mars
Jeanne, accompagnée du dauphin, quitte Chinon. Elle s’imagine partir pour Orléans, assiégée par les Anglais, et délivrer la ville. Mais, grosse désillusion, on l’emmène à Poitiers. C’est là
qu’elle doit d’abord subir un examen qui doit prouver sa virginité ; il faut savoir si elle n’a pas menti. Pendant trois longues semaines, le parlement et l’Université de Paris vont débattre sur son cas. Finalement, ils ne trouveront rien de douteux ou de maléfique.
Fin mars
Le dauphin Charles fait de Jeanne le chef de son armée. De retour à Chinon, elle part pour Tours. Sur place, elle doit prendre son service et s’équiper. Elle demande un
cheval, et qu’on lui fasse une armure. Elle ordonne qu’on lui réalise une bannière à l’image du Christ. Lorsqu’on lui propose de lui forger une épée, elle refuse. Elle déclare que celle qu’elle désire brandir au nom du seigneur se trouve enterrée derrière l’église de Fierbois. On y envoie donc un messager. Celui-ci, incrédule, ne sait pas trop ce qu’il va trouver. Pourtant, il revient avec la précieuse relique. Celle que Charles Martel aurait abandonnée en 732, après sa victoire de Poitiers sur les Sarrasins.
Le 22 mars
Jeanne envoie deux lettres de sommation aux Anglais. Elle leur promet de les épargner si ceux-ci abandonnent leurs armes, quittent la terre de France et s’en retournent « sur leur île ». Puis elle rejoint le gros de l’armée à Blois.
Le 29 avril
Jeanne arrive à Orléans, où elle rencontre Dunois, le Bâtard d’Orléans. Elle est à la fois impatiente et furieuse de ne pas être tout de suite conduite confrontée aux envahisseurs anglais de Talbot. Elle est pressée d’en découdre et de combattre l’ennemi. N’est-elle pas l’ « envoyée du roi du ciel ».
Le soir, elle entre dans Orléans, assiégée depuis sept mois, sous les acclamations des habitants.
Du 30 avril au 3 mai
Jeanne est contrainte de patienter. Elle attend le retour de Jean Dunois, parti pour Blois, qui doit revenir avec des renforts.
JEAN DE DUNOIS, DIT « LE BÂTARD D’ORLEANS »
Jean de Dunois (ou Jean d’Orléans, comte de Dunois, dit « le bâtard d’Orléans ») naît le 18 avril 1403 et meurt le 24 novembre 1468 au château de Lay (L’Haÿ-les-Roses), près de Paris. Noble et officier français, il est un des célèbres grands chefs militaires de la guerre de Cent Ans. En 1429, comme compagnon d’armes de Jeanne d’Arc, il se distingue particulièrement au cours de la levée du siège d’Orléans. Jean de Dunois est le fils naturel de Louis Ier d’Orléans et de Mariette d’Enghien (dame de Wiege et de Fagnoles, fille de Jacques d’Enghien, seigneur d’Havré, et de Marie de Roucy de Pierrepont). Sa mère, Mariette d’Enghien, est l’épouse, depuis 1389, d’Aubert Le Flamenc (seigneur de Cany et de Varennes, conseiller et chambellan du duc Charles d’Orléans). Pendant une dizaine d’années, le Bâtard sera élevé en compagnie du dauphin, le futur Charles VII. Son père, Louis Ier d’Orléans, est le chef de la maison d’Orléans, branche cadette de la maison de Valois, dont l’assassinat en 1407 déclenche la guerre fratricide entre Armagnacs et Bourguignons. Jean de Dunois rallie aussitôt les rangs des Armagnacs, adversaires des Anglo-Bourguignons. En 1422, à la mort du roi de France Charles VI « Le Fol », il se range aux côtés du dauphin, le futur Charles VII. (En 1420, par le traité de Troyes, celui-ci a été dépossédé de la succession au trône, au profit du roi d’Angleterre Henri VI). MARIAGE La même année, Jean de Dunois épouse Marie Louvet, fille de Jean Louvet (président du Parlement de Provence, et l’un des favoris du dauphin). En 1440, il se remarie avec Marie d’Harcourt (1420-1484). De cette union naîtront quatre enfants, dont le deuxième, François (1447-1491), sera le premier des comtes, puis des ducs de Longueville. SA VIE En 1421, Chambellan du dauphin et régent, le Dunois est nommé seigneur de Valbonnais, en Dauphiné. En 1424, il est fait comte de Mortain, en Normandie. En 1428, il devient comte de Porcien, en Réthelois. Il est nommé lieutenant-général du duc Charles 1er d’Orléans pendant la captivité de celui-ci. (Il est le seul représentant mâle de la famille sur le territoire français). Le 5 septembre 1427, le Bâtard d’Orléans participe à levée du siège de la ville de Montargis. A 25 ans, il est victorieux, avec 1 600 hommes, des 3 000 Anglais commandés par lord Warwick, lord Suffolk et Sir John de la Pole. L’année suivante, le 25 octobre 1428, il reçoit pour mission la défense de la ville d’Orléans, assiégée. Le 29 avril 1429, il accueille Jeanne d’Arc devant Orléans. Lors du siège d’Orléans (du 12 octobre 1428 au 8 mai 1429), en l’absence de ses demi-frères légitimes (le duc Charles d’Orléans et le comte Jean d’Angoulême), prisonniers des Anglais, Jean Dunois devient le chef des Orléans. C’est alors qu’il va se distinguer comme compagnon d’armes de Jeanne d’Arc. Il participera ensuite à tous les combats au côté de la Pucelle, qu’il accompagnera jusqu’à Paris. Pour Jeanne d’Arc, Jean d’Orléans est tout simplement le « Bâtard ». Il faut dire que celui-ci affiche à l’époque ce surnom fièrement, comme une bannière ; c’est son titre de gloire. Grand chambellan du roi, sa brillante conduite à la tête des armées va le couvrir d’honneurs. Le roi lui donnera le titre de « Restaurateur de la Patrie ». En 1431, il participe à la campagne de Normandie. En avril 1436, Jean Dunois prend part à la libération de Paris. En 1439, en récompense de sa conduite, Jean d’Orléans reçoit le comté de Dunois, dont le nom l’immortalisera, et en 1443, le riche comté de Longueville. En 1448, à la rupture de la trêve de Tours, le comte de Dunois reprend sa glorieuse carrière militaire : il enlève Le Mans et, en juillet 1449, entreprend la reconquête de la Normandie. Le 19 octobre 1449, il entre victorieux dans Rouen. Le 15 avril 1450, Jean Dunois remporte avec Richemont et Clermont la victoire de Formigny. Puis il se retourne vers la Guyenne. Tout s’achève avec la bataille de Castillon, le 17 juillet 1453. Le comte de Dunois meurt le 23 novembre 1468 au château de l’Haÿ-les-Roses. Il est inhumé en la basilique Notre-Dame de Cléry, où le rejoindra la dépouille du roi de France Louis XI. Souverain qu’il servit avec autant de dévouement et de fidélité qu’il avait servi Charles VII. SES TITRES Comte de Mortain (1424), de Porcien (1428), de Périgord et de Gien (1430), de Dunois (1439) et de Longueville (1443), vicomte de Saint-Sauveur, baron de Parthenay, seigneur de Valbonnais (1421), Fallavier (1422), La Ferté-Vineuil, Romorantin (1430), Châteaurenault, Fréteval, Marchenoir, Beaugency, Cléry (1439), Bouteville, Vouvant et autres lieux, chevalier en 1421, chambellan du dauphin et régent, lieutenant général du duc d’Orléans en 1429, et enfin grand chambellan du roi en 1433.
Sources :
Mes photos
Photos publiques Facebook
Les rois de France des Éditions Atlas (Valois directs).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Cent_Ans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_d%27Arc
https://www.histoire-en-questions.fr/reportage/jeanne/jeanne-bergere.html
http://www.stejeannedarc.net/lettres/lettres.php
https://www.azay-chinon-valdeloire.com/experiences/sur-les-pas-de-jeanne-darc/
5 réponses
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