Le site antique de Vaison-la-Romaine

LES TÉMOINS DU PASSÉ

ANTIQUITÉ

LE SITE ANTIQUE DE VAISON-LA-ROMAINE

Site archéologique de la Villasse à Vaison-la-Romaine.

 

Blason de la ville de Vaison-la-Romaine

SITE : vestiges gallo-romains, villa antique.

NOM : Site archéologique de la Villasse à Vaison-la-Romaine.

« Vasio » (ou « Vasio Vocontiorum ») est le nom gallo-romain de l’actuelle ville de Vaison-la-Romaine (une des deux capitales du peuple celte des Voconces au Ier siècle av. J.-C.).

ÉTAT : vestiges, fouilles archéologiques.

ÉPOQUE : période gallo-romaine (de 52 av. J-C à 486 de notre ère).

DESTINATION INITIALE : « cité fédérée » romaine de la Gaule Narbonnaise (fédérée liée à Rome par un traité).

L’empereur Auguste avait découpé la Gaule en quatre provinces : trois impériales (la Gaule lyonnaise, la Gaule aquitaine et la Gaule Belgique), et une sénatoriale (la Gaule narbonnaise).

Géographiquement, la Gaule romaine recouvrait la France actuelle et une grande partie des Belgique et Suisse actuelles.

Lugdunum fut désignée comme étant la capitale des Trois Gaules et le centre névralgique où siégeaient leurs gouverneurs.

Auguste

Lire : l’Amphithéâtre des Trois Gaules.

DATE DE CONSTRUCTION : Ier siècle av. J.-C.

PROPRIÉTAIRE : la commune.

PROTECTION :

– le champ de fouilles gallo-romaines du quartier de la Villasse : classement par arrêté du 15 janvier 1943

– le site de la Villasse en totalité : classement par arrêté du 18 juillet 2007

COMMUNE : Vaison-la-Romaine.

DÉPARTEMENTS : Vaucluse.

RÉGION : Provence-Alpes-Côte d’Azur.

VAISON-LA-ROMAINE

Le pont romain

Vaison-la-Romaine est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ses habitants sont appelés les Vaisonnais. La ville est connue pour ses vestiges romains particulièrement riches (dont un pont à arche unique), ainsi que pour sa cité médiévale et sa cathédrale. Vaison-la-Romaine se trouve environ à 35 km d’Orange, 50 km d’Avignon, 10 km des Dentelles de Montmirail, et 40 km du Mont Ventoux.

Le visiteur découvre une cité à la fois antique, médiévale et moderne ; un véritable décor de cartes postales se déploie sous ses yeux.

De la ville antique à la ville médiévale, 2000 ans d’Histoire se sont écoulés. Au fil du temps, Vaison-la-Romaine se développera et son urbanisation recouvrera en partie les vestiges gallo-romains. Les pierres du site antique ont souvent été réutilisées comme matériaux de réemploi pour l’édification des nouveaux bâtiments de la cité, comme on peut le constater dans les fondations de la cathédrale.

Lire : la cathédrale Notre-Dame de Nazareth

HISTORIQUE EN BREF 

Jusque dans la seconde moitié du XIIème siècle, Vaison-la-Romaine se développa en plaine autour de la cathédrale et du palais épiscopal.

Dans la seconde moitié du XIIème siècle, la ville subira plusieurs attaques, dues à une rivalité entre les comtes de Toulouse et les évêques successifs. Le Comte de Toulouse voulant récupérer ses biens, la cité sera pillée.

Au XIIIème siècle, ces antagonismes conduiront les habitants à abandonner la cité médiévale pour aller s’abriter sur le rocher, à proximité du château comtal, devenu propriété du Saint Siège. C’est dans ce contexte que va prospérer en territoire pontifical la ville médiévale qui subsiste aujourd’hui.

Aux XVIème et XVIIème siècles, des bâtiments se construiront dans la vallée, dans le prolongement du pont romain.

Il faudra attendre le XIXème siècle, avec l’urbanisation, pour que la population réintègre la ville basse, sur l’emplacement de l’antique cité romaine.


 

Le pont romain

Au début de l’Âge du fer, la région était habitée par les Ligures. Des vestiges de maisons et de remparts du premier Âge du fer (VIIIème au Vème siècle av. J.-C.) ont été mis au jour sur la rive gauche de l’Ouvèze, au pied de l’éperon rocheux. C’est sur cette zone (territoire actuellement occupé par la Haute-Ville) que se sont établies les populations ligures, puis celto-ligures à partir de l’invasion des Voconces, au IVème siècle av. J.-C.

Les Ligures étaient un peuple situé dans le nord de l’Italie entre les fleuves du Var, de la Magra et du Pô au nord.

Les Voconces étaient une union de peuples gaulois occupant un territoire circonscrit par la Durance au sud, l’Isère au nord, le couloir rhodanien à l’ouest, la Durance et les Préalpes à l’est.

Entre 125 et 118 av. J.-C., lors de la conquête de la province de la Narbonnaise, ceux-ci sont battus par les légions romaines.

À la fin du IVème siècle av. J.-C., « Vasio Vocontiorum » (Vaison des Voconces) devient la capitale administrative et politique des Voconces.

Lors de la conquête romaine, Vasio devient un élément de la « Provincia » (partie méridionale de la Gaule), et non pas une colonie. Son statut est celui d’une « cité fédérée », fidèle à Jules César, ce qui lui attribue une certaine part d’autonomie.

A l’instar de quelques rares cités comme Massalia (Marseille), par exemple, Vasio devient alors, selon Pline l’Ancien, « civitas foederata » (cité fédérée). À la différence d’une colonie, elle est rattachée à Rome par un traité qui assure l’assistance mutuelle entre elles. Cependant, Vasio garde son autonomie juridique et son indépendance administrative.

Sous l’empire romain, la ville se met à prospérer et prend de l’ampleur. Elle se donne alors une structure « à la romaine », avec avenues, aqueduc, égouts, pont, théâtre (le plus important de France après celui d’Orange), thermes, portiques de colonnades, et somptueuses « domus ».

Lire : le théâtre d’Orange.

Au IIIème siècle de notre ère, une partie de la cité est détruite. La reconstruction se réalisera au siècle suivant.

Aux Vème et VIème siècles, l’influence de la ville est encore importante.

Aux temps sombres du Moyen Âge, la cité amorce un déclin. Les habitants partent s’installer sur la colline de la rive gauche de l’Ouvèze, à l’abri des remparts et du château fort (là où existait l’oppidum des Voconces, et où les comtes de Toulouse feront élever un château au XIIème siècle).

En 924, le roi Raoul de Bourgogne certifie les possessions de l’Abbaye Saint-Martin d’Autun à Fréjus, à Vaison-la-Romaine et en pays Viennois.

Jusqu’au XIIème siècle, la ville se développe autour de la cathédrale et du palais épiscopal. Elle y subira plusieurs invasions en raison des luttes entre les comtes de Toulouse et les évêques successifs.

Lire : la Croisade des Albigeois

Au XIIIème siècle, la population cherche refuge sur le rocher, au pied du château, construit par les comtes de Toulouse mais devenu propriété du Saint Siège. C’est dans ce contexte que se développera, en territoire pontifical, la ville médiévale que l’on visite aujourd’hui.

Aux XVIIIème et XIXème siècles, les habitants abandonnent la Haute-ville et reviennent s’installer sur le territoire de la cité antique, en ensevelissant une partie des vestiges.

LE SITE ANTIQUE DE VAISON-LA-ROMAINE

Dépliant de visite remis sur à l’accueil

VASIO, LA ROMAINE

Vasio est l’ancien nom de Vaison. Les Voconces, peuple celte, occupaient la région avant d’être vaincus par Rome et intégrés à l’empire. Hormis les restes disséminés dans la ville, les vestiges se répartissent sur deux sites : Puymin et La Villasse.

Les vestiges romains sont parmi les plus importants de France. Les deux sites principaux de Puymin et de La Villasse sont situés dans le centre-ville (de part et d’autre de l’office de tourisme), et on peut y accéder facilement.

On y découvre les vestiges de belles demeures patriciennes : la Maison à l’Apollon Lauré de 2000 m², la Maison à la Tonnelle de 3000 m², le sanctuaire à portiques (lieu de promenade ou de culte encadrant un jardin et une construction centrale). Le site de La Villasse occupe ce qui était le quartier aisé, commerçant et plein de vie, avec la Rue des Boutiques, les thermes et bassins, des demeures somptueuses, dont La Maison du Buste en Argent ou encore La Maison au Dauphin, autrefois une ferme.

On accède au théâtre antique (daté du 1er siècle avant J.-C.) par plusieurs chemins en parcourant les vestiges.

Le mur de scène s’élevait à 25 mètres et ses 32 étages de gradins (cavea), en hémicycle, pouvaient accueillir 7000 personnes. Tombé dans l’abandon pendant plusieurs siècles, c’est l’abbé Sautel qui exhuma le théâtre en 1912. Dans les fosses qui abritaient la machinerie, on mit au jour des statues qui sont exposées aujourd’hui au Musée Théo Desplans.

De nos jours, le théâtre antique est le cadre de nombreuses manifestations culturelles : les Choralies, Vaison Danse, Au fil des Voix, la Semaine de Théâtre antique

Au cœur du site de Puymin se trouve le Musée Archéologique Théo Desplans. Il abrite une statuaire antique, et une riche collection de plus de 2000 objets du quotidien de la vie des Romains à cette époque (fruit d’un grand travail de conservation et de recensement). Aujourd’hui, il présente l’art de vivre antique de la Préhistoire jusqu’à l’époque gallo-romaine. Un détail qui est important : le musée est accessible aux personnes à mobilité réduite.

DÉTAILS D’UNE MAISON TRADITIONNELLE ROMAINE

Composition d’une maison romaine traditionnelle :

Le vestibulum : couloir d’entrée.

Les tabernae : boutiques.

L’atrium : c’était la pièce centrale où se déroulait toute la vie familiale. Elle comportait en son centre un petit bassin (impluvium) qui recevait les eaux de pluie d’une ouverture en forme d’entonnoir (compluvium) aménagée dans la toiture. Ce bassin comportait un trop-plein qui acheminait la réserve d’eau ainsi constituée vers une citerne creusée en sous-sol. Des colonnes supportaient cette ouverture, qui laissait passer tout à la fois la lumière du jour et les fumées des braseros.

Le brasero : dans l’Antiquité grecque et romaine, c’était un bassin de bronze posé sur trépied, rempli de braises ardentes. C’était l’unique source de chauffage de la domus.

L’impluvium : bassin récepteur des eaux de pluie.

Le tablinum : bureau. Cette pièce était ouverte à la fois sur l’atrium et sur le jardin. Elle abritait les archives et les souvenirs de famille : objets, portraits d’ancêtres, statuettes rassemblées autour d’un autel domestique appelé « lararium » (le laraire). La pièce était richement meublée, de manière à impressionner les visiteurs : clients, notables… C’est là aussi que le propriétaire des lieux travaillait, écrivait et donnait ses ordres.  

L’hortus : jardinet potager derrière la maison. Sous la République romaine, la domus romaine est simple : elle comporte souvent un jardinet en arrière des bâtiments. Dès le IIème siècle av. J-C apparaît la maison avec péristyle. Les richesses acquises par la conquête de la Grèce et de l’Asie mineure ont développé la mode des luxueux jardins à portiques, supportés par des colonnes, avec des bassins et des statues, dans le style grec.

Le triclinium : salle à manger. Les Romains des classes inférieures (« les plébéiens »), les gens du peuple ainsi que le personnel (les esclaves), prenaient leur repas normalement assis et sans solennité.

L’alae : pièces latérales.

Le cubiculum : chambre. Chaque membre de la famille possédait la sienne. De petite dimension, elle se composait d’un lit à cadre de bois, d’un sommier en lanières de cuir entrecroisées, du matelas et de la literie. Le mobilier était spartiate ; il n’y avait pas d’armoire, mais un coffre où chacun pouvait ranger ses vêtements.

DÉTAILS D’UNE MAISON ROMAINE A PÉRISTYLE

Une domus, la maison au grand péristyle

Composition d’une maison romaine à péristyle :

Domus à péristyle

Un péristyle est une galerie de colonnes faisant le tour extérieur (entièrement ou partiellement, sous la forme d’un porche) ou intérieur d’un édifice. Un édifice entouré par un péristyle est un périptère.

Un périptère est un édifice entouré de rangées de colonnes sur toutes ses faces.

L’ostium : porte d’entrée.

Le vestibulum : couloir d’entrée.

Les fauces : passages étroits, couloirs, corridors.

Les tabernae : boutiques.

L’atrium : c’était la pièce centrale où se déroulait toute la vie familiale. Elle comportait en son centre un petit bassin (impluvium) qui recevait les eaux de pluie d’une ouverture en forme d’entonnoir (compluvium) aménagée dans la toiture. Ce bassin comportait un trop-plein qui acheminait la réserve d’eau ainsi constituée vers une citerne creusée en sous-sol. Des colonnes supportaient cette ouverture, qui laissait passer tout à la fois la lumière du jour et les fumées des braseros.

Le brasero : dans l’Antiquité grecque et romaine c’était un bassin de bronze posé sur trépied, rempli de braises ardentes. C’était l’unique source de chauffage de la domus.

Le compluvium : collecteur des eaux de pluie.

L’impluvium : bassin récepteur des eaux de pluie.

Le tablinum : bureau. Cette pièce était ouverte à la fois sur l’atrium et sur le jardin. Elle abritait les archives et les souvenirs de famille : objets, portraits d’ancêtres, statuettes rassemblées autour d’un autel domestique appelé « lararium » (le laraire). La pièce était richement meublée, de manière à impressionner les visiteurs : clients, notables… C’est là aussi que le propriétaire des lieux travaillait, écrivait et donnait ses ordres.  

Le triclinium : salle à manger à trois banquettes. Les Romains des classes aisées (les « patriciens ») y prenaient leur repas principal (cena) en position semi-allongée, accoudés sur des coussins autour d’une table centrale.

L’alae : pièces latérales.

Le cubiculum : chambre. Chaque membre de la famille possédait la sienne. De petite dimension, elle se composait d’un lit à cadre de bois, d’un sommier en lanières de cuir entrecroisées, du matelas et de la literie. Le mobilier était spartiate ; il n’y avait pas d’armoire, mais un coffre où chacun pouvait ranger ses vêtements.

La culina : cuisine.

Le posticum : entrée de service.

Le peristylium : péristyle.

La piscina : bassin.

L’exedra : salle, souvent semi-circulaire, dotée de sièges, où l’on conversait.

LES SITES DE PUYMIN ET DE LA VILLASSE

Vestiges des pièces d’une domus avec ses colonnades

LA MAISON DE L’APOLLON LAURÉ

Cette maison est aussi nommée « domus à l’Apollon lauré », du nom de la tête d’un Apollon à couronne de laurier (lauré) en marbre blanc qui fut retrouvé à cet endroit.

Cette vaste demeure a une surface visible de 2 000 m² alors que son extension vers le sud demeure encore inconnue.

On peut imaginer l’entrée principale, avec dans son prolongement une succession de pièces : la salle à manger, la salle à mosaïque et la cour, ainsi que la grande salle d’apparat au sol revêtu de marbres polychromes, qui donnait sur le péristyle. Les entrées sur la rue du théâtre comprenaient les salles des tâches domestiques : la cuisine avec ses foyers et son bassin, une cour où étaient aménagées les latrines, et un abri pour le bois. De là était entretenu le foyer sur hypocauste qui chauffait la « domus ».

LES MOSAÏQUES

LA MAISON DU BUSTE D’ARGENT

LA RUE DES BOUTIQUES

On y parvenait par un large trottoir à l’Est, et par une galerie piétonne à l’Ouest. On peut délimiter les commerces par les traces de rainures sur le sol, qui représentaient les étalages de vente.

LES LATRINES PUBLIQUES ET LES CONDUITS D’EAU

Les latrines sont adossées au mur d’une petite cour à ciel ouvert, augmentée d’un bassin central cerné par un portique. Sous la banquette des latrines (parfois en marbre), une rigole circulait, perpétuellement alimentée en eau. Elle assurait l’évacuation des eaux usées et la salubrité de cet endroit d’aisance. Ces latrines étaient surhaussées d’un toit en bois. Mais aucune cloison ne venait séparer les utilisateurs des lieux. Ce manque d’intimité donnait l’occasion d’entretenir des conversations !

LE SANCTUAIRE A PORTIQUES (OU PORTIQUE DE POMPÉE)

Ce vaste monument (mesurant 64 mètres par 32 mètres) était probablement un lieu public, utilisé pour se promener ou dédié au culte.

Ses portiques inséraient un jardin, pourvu d’un grand bassin et d’un édifice en son centre.

Le mur Nord était doté d’un portique entouré de colonnes. Ses dimensions et la présence d’un autel laissent penser à un lieu de culte consacré à un dieu, un Empereur ou un notable local.

Dans la galerie Nord, des moulages de sculptures ont été placés dans des niches : au centre le Diadumène, qui est la réplique romaine d’un original du sculpteur Polyclète (actuellement à Londres), puis l’Empereur Hadrien et son épouse Sabine (statues mises au jour au théâtre).

LES STATUES

LES HYPOCAUSTES

L’hypocauste était le nom donné au système de chauffage par le sol utilisé à l’époque romaine et gallo-romaine, surtout dans les thermes romains.

DOLIUM (réserve à grains)

 PUYMIN (photos)

Le site doit son nom à la colline située au Nord de la ville antique. Puymin vient du Latin podium minus (la petite colline), ou podium Minervae (la colline de Minerve). On y trouve plusieurs monuments remarquables : deux domus, un portique, un nymphée, et un théâtre.

Un nymphée est un bassin où coule une source considérée à l’origine comme sacrée. Elle devient une fontaine publique monumentale dans la Rome antique.

LE THÉÂTRE ANTIQUE

Le théâtre antique de Vaison-la-Romaine

Classé monument historique depuis 1862, il représente le témoin de la prospérité de la ville antique. C’est l’un des rares édifices publics visibles de nos jours qui faisait partie intégrante de l’ensemble monumental de « Vasio ».

 Le Théâtre romain de « Vasio ».

LA VILLASSE (photos)

C’est un quartier riche et très actif de la ville. A l’Est, il est constitué de nombreuses rues, de boutiques, et des thermes. À l’Ouest, on trouve de grandes domus avec des cours intérieures. Elles sont les témoins d’une qualité de vie et d’un luxe réservé aux populations aisées (« les patriciens »).

Sources :

Mes photos

Photos publiques Facebook

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaison-la-Romaine

https://monumentum.fr/monument-historique/pa00082180/vaison-la-romaine-site-archeologique-de-la-villasse

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vasio

https://www.adventuresinprovence.fr/visite-du-site-antique-de-puymin-a-vaison-la-romaine/

https://www.france-voyage.com/villes-villages/vaison-la-romaine-33795/site-archeologique-puymin-34427.htm

https://www.guide-tourisme-france.com/VISITER/site-archeologique-puymin–vaison-romaine-38024.htm

https://slideplayer.fr/slide/10263001/

https://odysseum.eduscol.education.fr/vaison-la-romaine-la-cite-des-voconces

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