Henry Hopkins Sibley
LA GUERRE DE SÉCESSION
(1861-1865)
HENRY HOPKINS SIBLEY
25 mai 1816 – 23 août 1886
SOMMAIRE
Henry Hopkins Sibley (25 mai 1816 – 23 août 1886) était un officier de carrière dans l’armée des États-Unis. Il commandait une brigade de cavalerie confédérée pendant la guerre civile, notamment dans le Territoire du Nouveau Mexique.
En 1862, il tenta d’aménager une route de ravitaillement depuis la Californie, au mépris du blocus de l’Union des ports de l’Atlantique et du Golfe. Il avait pour objectif, en même temps, de s’emparer des mines d’or du Colorado pour renflouer les finances de la Confédération.
Il captura Albuquerque et Santa Fe, et fut victorieux à la bataille de Valverde (les 20 et 21 février 1862). Mais après avoir perdu la bataille de Glorieta Pass (dans l’actuel Nouveau-Mexique) les 27 et 28 mars 1862, il fut forcé de se replier.
Il eut ensuite d’autres commandements de moindres importances dans le sud de la Louisiane, mais fut accusé de commettre de graves fautes, sans doute causées par son penchant pour la boisson.
Sibley créa une nouvelle « tente cloche » et un réchaud, faciles à emballer. Ces deux concepts furent utilisés pendant de nombreuses années par les armées américaines et britanniques. – Le 22 avril 1856, Sibley breveta la « tente Sibley » qui pouvait accueillir 20 soldats avec leur équipement. Sa tente fut largement utilisée à la frontière. – Il inventa aussi le « poêle Sibley », pour fournir de la chaleur dans la tente. Ces poêles en tôle seront utilisées jusqu’à l’avènement de la Seconde Guerre mondiale. Selon la convention signée avec le département de la Guerre, Henry Hopkins Sibley aurait dû toucher 5 dollars (142 $ actuels) par tente utilisée, mais à cause de son engagement dans l’armée confédérée, il ne toucha rien pour les 44 000 tentes de l’Union.
NAISSANCE
Henry Hopkins Sibley naît le 25 mai 1816 à Natchitoches, en Louisiane. Il meurt le 23 août 1886 à Fredericksburg, Virginie, à l’âge de 70 ans.
« L’État du Pélican » 18ème État. Capitale : Bâton Rouge. Date d’entrée dans l’Union : 30 avril 1812. En 1682, René-Robert Cavelier de La Salle, arrivé de la Nouvelle-France, parcourt le bassin du Mississippi jusqu’à son embouchure, et nomme cet immense contrée « Louisiane », en l’Honneur du roi de France Louis XIV. Au 18ème siècle, la Louisiane s’étend des grands lacs jusqu’au Golfe du Mexique. Avant la guerre civile, la Louisiane est un État esclavagiste. Les esclaves afro-américains forment la majorité de la population lors de la période coloniale Franco-espagnole du 18ème siècle. En 1860, 47% de la population est réduite en esclavage ; c’est aussi l’État qui rassemble la plus grande masse d’hommes noirs libres des États-Unis. Lors de la Sécession, la Louisiane est partagée. Si une grande partie de la population créole blanche de l’État se porte en faveur du droit des États du Sud et de l’esclavage, une minorité, qui a des intérêts commerciaux, manifeste son soutien à l’Union. La Louisiane fait sécession le 26 janvier 1861. La plus grande ville de l’État, la plus stratégique aussi, la Nouvelle-Orléans, est prise par les forces du Nord le 25 avril 1862. De nombreuses batailles auront lieu sur son sol, notamment pour la prise des forts Pikes, Jackson et St. Philip ; ainsi que la Prise de la Nouvelle Orléans (le 1er mai 1862), la Bataille de Bâton Rouge (le 5 août 1862), le Siège de Port Hudson (du 21 mai au 9 juillet 1863), la bataille de Mansfield (le 8 avril 1864) et la bataille de Pleasant Hill (le 9 avril 1864), etc,..
FAMILLE
Henry Hopkins Sibley est le petit-fils du docteur et chirurgien John Sibley (1757-1837, qui a servi comme médecin dans la Guerre d’Indépendance américaine)et d’Elizabeth Hopkins. (1755-1790).
Il est le fils de Samuel Hopkins Sibley (1784-1833) et de Margaret Sibley (1792- ?), sa seconde épouse.
FRATRIE
Henry Hopkins Sibley est le frère de :
– Henrietta Chapman Sibley (1815-1845).
– Dr Robert Henry Sibley (1792-1853).
– Ann Elizabeth Johnston Gilpin Sibley (1797-1874).
– Helena Kimball Sibley (1817-1850).
– Horatio Sibley (1821-1851).
– Rufus Sibley (1822-1880).
JEUNESSE
La famille Sibley est originaire du Dorset, en Angleterre. Elle émigre en 1629 et s’installe dans le Massachusetts. En 1803, après la mort de sa première épouse Elizabeth Hopkins (à qui son fils et son petit-fils doivent leur deuxième nom), le docteur John Sibley déménage en Louisiane. Il s’installe à Natchitoches, sur les rives de la Rivière Rouge (la « Red River »).
En 1803, John Sibley fait partie d’une expédition sur la Rivière Rouge, en Louisiane Occidentale, pour le compte du gouvernement fédéral.
En 1811, son fils, Samuel Hopkins Sibley, le suit à Natchitoches, où il travaillera comme employé du comté de 1815 jusqu’à sa mort, en 1833.
À l’âge de 7 ans, Henry Hopkins Sibley est envoyé chez son oncle George Champlin Sibley et son épouse Mary Easton, qui ont fondé le « Lindenwood College » à Saint-Charles, dans le Missouri.
A 17 ans, Henry entre à l’Académie militaire de West Point.
Il en sort diplômé en 1838, et est nommé sous-lieutenant dans le « 2nd US Dragoons ».
FAITS D’ARME
&
AVANT LA GUERRE CIVILE
GUERRES SEMINOLES
« Seminole Wars ou Florida Wars »
(1816-1858)
Les guerres séminoles (au nombre de trois) opposèrent, en Floride, les États-Unis à divers groupes d’Amérindiens que l’on a appelés « Séminoles ». La 1ère eut lieu de 1817 à 1818, la seconde de 1835 à 1842, et la 3ème de 1855 à 1858.
Henry Hopkins Sibley combat les Indiens Séminoles en Floride en 1840-1841.
GUERRE AMÉRICANO-MEXICAINE
(1846-1848)
Sibley participe à l’occupation militaire du Texas (1845-1846) et à la guerre américano- mexicaine (1847-1848).
Il sert sur la frontière du Texas de 1850 à 1855.
Puis de 1855 à 1857, il aide à réprimer les troubles provoqués au Kansas par le « Kansas-Nebraska Act » (loi organique territoriale pour la création des territoires du Kansas et du Nebraska).
Il prend part à la guerre de l’Utah (conflit qui a eu lieu de 1857 à 1858 dans le territoire de l’Utah, entre les colons mormons et le gouvernement fédéral des États-Unis).
De 1860 à 1861, Sibley reste en service actif au Nouveau-Mexique.
Le 13 mai 1861, il donne sa démission (le jour même de sa promotion au rang de commandant du « 1st US Dragoons »).
LA GUERRE CIVILE
(1861-1865)
Originaire de Louisiane et sympathisant du sud, Sibley démissionne de l’Armée des États-Unis dès le début du conflit, et rejoint l’Armée des États confédérés.
Au cours de l’été 1861, il commande une brigade de cavalerie de volontaires dans l’ouest du Texas.
En recrutant dans les comtés de l’Est du Texas, Sibley met sur pied une force armée qu’il surnomme l’armée du Nouveau-Mexique, et commence à planifier une campagne du Nouveau-Mexique.
Son objectif est de s’emparer des villes d’Albuquerque, de Santa Fe et de Fort Union, sur le « Santa Fe Trail » (piste de Santa Fe), pour y établir une base avancée de ravitaillement.
Sibley veut ensuite poursuivre vers le nord, jusqu’au Colorado, pour capturer les nombreuses mines d’or et d’argent de la région (les finances de la Confédérations sont gravement affaiblies, il est vital de les renflouer).
Dès lors, Sibley prévoie d’unir ses forces avec celles du lieutenant confédéré John R. Baylor (qui s’est auto-proclamé 1er gouverneur du territoire de l’Arizona). Celui-ci
contrôle une grande partie des territoires du sud du Nouveau-Mexique et de l’Arizona, dont le siège est à Tucson.
Leur stratégie est vitale pour la Confédération : ils doivent rallier les ports californiens (la marine fédérale ayant mis en place un blocus naval à l’Est), et établir impérativement une ligne d’approvisionnement indispensable vers le sud.
Tout au long de la campagne du Nouveau-Mexique de 1862, Sibley sera poursuivi par son adversaire, le colonel Edward Canby (un ancien camarade d’armes de l’armée américaine).
La campagne du Nouveau-Mexique de Sibley, qui doit contrôler la piste de Santa Fe jusqu’au Colorado, sera un demi-échec.
Les 20 et 21 février 1862, Sibley est victorieux à la bataille de Valverde. Dans la foulée, au début mars, il s’empare d’Albuquerque et de Santa Fe.
Le 28 mars, la bataille qui suit, Glorieta Pass, se termine par une apparente victoire confédérée sur le terrain.
Au même moment, les forces de l’Union (la colonne de Californie) s’approchent du Nouveau- Mexique par l’ouest. Mais Sibley doit battre en retraite vers le Texas, car son train de ravitaillement a été détruit. La plupart des chevaux et des mulets ont été tués ou chassés pendant le combat, transformant une défaite tactique de l’Union en victoire stratégique.
D’aucuns ont appelé la bataille de « Glorieta Pass » le « Gettysburg de l’Ouest ».
La retraite de Sibley met fin aux espoirs de la Confédération d’étendre sa domination jusqu’à l’océan Pacifique, et de profiter des richesses minières de la Californie ; et peut-être celles du Colorado.
« Terre d’enchantement ». Devise : « Il croît en marchant » ou « il grandit de jour en jour ». 47ème État. Capitale : Santa Fe. Date d’entrée dans l’Union :6 janvier 1912. Le Nouveau Mexique est un État du sud-ouest des États-Unis. Il est bordé à l’ouest par l’Arizona, au nord par le Colorado, à l’est par le Texas, et au sud par les États mexicains de Chihuahua et de Sonora. Le Nouveau-Mexique a une superficie de 314 926 km2. Sa population s’élevait en 2019 à 2 096 829 habitants. La forme de l’Etat est proche d’un carré de 550 km de côté, et la plus grande ville est Albuquerque, avec 916 528 habitants. ORIGINE DU NOM Ce sont les Espagnols qui ont donné le nom de « Nouveau-Mexique » aux terres situées au nord de la rivière Rio Bravo (la région supérieure du Rio Bravo a été appelée Nuevo México dès 1561). Plus tard, le nom a été anglicisé, et donné également aux terres cédées aux États-Unis par le Mexique après la guerre américano-mexicaine. Le nom « Mexique » provient de la langue aztèque, et signifierait « dans le nombril de la Lune ». LES AMÉRINDIENS PUEBLOS Il y a plusieurs millénaires, les premiers Amérindiens ont exploité les ressources de la région et ont développé une culture originale. Les ruines amérindiennes sont les témoins de cette occupation ancienne dans la région de Santa Fe et dans les grottes-montagnes de Sandia, près d’Albuquerque. Les Amérindiens Pueblos qui leur ont succédés ont construit des petites villes, notamment dans la vallée du río Grande. Les premiers à prendre contact avec les pueblos furent Estevanico d’Azemmour et Marcos de Niza (tous deux envoyés en éclaireurs par le vice-roi du Mexique, Antonio de Mendoza). Marcos de Niza compare les villes pueblos aux légendaires cités d’or. C’est pourquoi, entre 1540 et 1542, le conquistador Francisco Vásquez de Coronado lance une expédition pour trouver ces cités. En 1541, il établit son camp dans l’actuel « Coronado Historic Site ». Mais sa présence soulève l’hostilité des indigènes, qui seront finalement décimés par les Espagnols. Les trois principaux villages pueblos sont Zuni, Santo Domingo, et Laguna. COLONISATION ESPAGNOLE & MASSACRE DES POPULATIONS AMÉRINDIENNES Dès le XVIème siècle, les Espagnols explorent le Nouveau-Mexique. Francisco Vásquez de Coronado est l’un des premiers à visiter la région. En 1598, Juan de Oñate fonde un village appelé San Juan (sur le site actuel de Santo Domingo). Il ordonne à Vicente de Zaldivar d’écraser les Indiens Acoma. Celui-ci massacre 500 hommes, et les survivants sont soit réduits en esclavage, soit amputés d’un pied pour les hommes âgés de plus de 21 ans. Lors des expéditions lancées contre les Indiens Tompiros, 800 indigènes sont tués et leurs habitations rasées. Oñate acquiert une réputation sanguinaire. De nombreux Amérindiens quittent leurs villages pour trouver refuge dans les montagnes, où ils meurent de froid et de faim. En 1609, Pedro de Peralta, à la tête de 250 Espagnols, militaires et colons, et 700 indigènes originaires de Tlaxcala, fonde la ville de Santa Fe. Les Espagnols installent des missions (Picuris Pueblo, Pecos Pueblo) et des forts (Santa Fe, El Paso) pour contrôler les indigènes, mais cet encadrement est insuffisant. En 1630, le Nouveau-Mexique compte 250 Espagnols. Une société esclavagiste se met en place avec le système de l’ « encomienda » (système utilisé à des fins d’exploitation économique et d’évangélisation dans l’empire colonial espagnol à l’époque de la conquête du Nouveau Monde). Entre les années 1630 et 1680, la sécheresse, la famine, l’épidémie de variole, et les attaques des Apaches poussent les Pueblos à la révolte. En 1639, ils attaquent les colons et les franciscains à Taos-Jemez, San Juan, et Santa Fe. En 1680, Popé, avec l’aide des Apaches, organise la Grande Révolte. Elle se terminera par le massacre de près de 400 Espagnols, par la destruction des églises, et par la prise de Santa Fe. Les Pueblos exigent alors le départ des Espagnols et la libération de tous les esclaves de Nouveau Mexique. En 1698, le gouverneur rétablit l’ordre, après avoir massacré et réduit en esclavage des centaines d’Amérindiens. NAISSANCE DE L’ÉTAT MEXICAIN En 1821, le Mexique obtient son indépendance après la victoire des indépendantistes contre la couronne espagnole. La province du Nouveau-Mexique restera sous la domination de Facundo Melgares (son gouverneur espagnol, en poste depuis 1818). Les habitants de la région entretiennent des liens commerciaux avec Mexico. Cet essor commercial pousse plusieurs commerçants et hommes d’affaires nord-américains à venir s’installer au Nouveau-Mexique. Leur premier relais commercial est établi dans la région en 1826. Au cours de l’année 1833, Fort Bent est construit sur la rivière Arkansas. Ce fort, qui est également une plaque tournante commerciale, est situé à environ 320 km au nord-est de Taos. En 1836, un groupe de colons anglo-saxons installés au Texas se rebelle contre le Mexique. Ils souhaitent se libérer totalement de la tutelle de Mexico. Les dirigeants de la République du Texas, nouvellement créée, revendiquent l’intégralité de la partie Est du Nouveau-Mexique. S’ensuit alors toute une série d’affrontements entre texans et mexicains pour le partage des territoires (c’est l’épisode du fameux siège de « Fort Alamo », le 6 mars 1836). Le Nouveau-Mexique n’étant pas un État, ses dirigeants sont nommés par Washington. Entre 1862 et 1863, Kit Carson « pacifie » les Navajos du Nouveau-Mexique pour le compte du général de l’Union James Henry Carleton (le commandant militaire de la région). A l’issue d’une campagne d’une grande sauvagerie, 10 000 Navajos sont emmenés en captivité. En une seule semaine, 126 meurent à Fort Canby de maladies et de privations. En 1868, plus de 2 000 sur les 10 000 captifs mourront. GUERRE CIVILE Durant la guerre de Sécession, le général confédéré Henry Hopkins Sibley entreprend sa campagne du Nouveau-Mexique. Il veut tenter d’ouvrir un nouveau front. Au cours de cette période, Albuquerque est occupée par les troupes confédérées. En 1862, le général Hopkins Sibley tente d’aménager une route de ravitaillement depuis la Californie, au mépris du blocus de l’Union des ports de l’Atlantique et du Golfe. Il a aussi pour objectif de s’emparer des mines d’or du Colorado pour renflouer les finances de la Confédération. Au cours de sa progression vers le nord du Nouveau-Mexique avec son armée, Sibley affronte son adversaire, le colonel Edward Canby (un ancien camarade d’armes de l’armée américaine). Il capture Albuquerque et Santa Fe, est victorieux à la bataille de Valverde (les 20 et 21 février 1862). Mais après la destruction de son convoi de ravitaillement par des hommes de Canby les 27 et 28 mars 1862 (bataille de Glorieta Pass), Sibley est forcé de se replier.
Après l’échec de sa campagne du Nouveau-Mexique, Sibley ne reçoit que des commandements de moindre importance, et doit lutter contre son alcoolisme. En 1863, il est jugé en cour martiale en Louisiane. Bien que l’accusation de lâcheté ne soit pas prouvée, il sera malgré tout blâmé.
APRÈS LA GUERRE
Après la guerre, Thaddeus Phelps Mott (aventurier, marin et mercenaire américain du XIXème siècle) recrute d’anciens soldats de l’Union et confédérés pour servir dans l’armée égyptienne.
Sibley est l’un des premiers à arriver en Égypte. Il y sert de 1870 à 1873 avec le grade de général de brigade d’artillerie, comme conseiller militaire auprès d’Isma’il Pacha, le Khedive d’Égypte (titre porté par le vice-roi d’Egypte de 1867 à 1914).
Il retombe dans ses problèmes d’alcool, et sera révoqué pour cause de maladie et d’invalidité.
De retour aux États-Unis, à partir de 1874 Sibley vit avec sa fille à Fredericksburg, en Virginie.
Il meurt dans la misère. Il est enterré dans le City Cemetery de Fredericksburg.
IN MEMORY
Louisa suivit son mari et travailla comme infirmière pour prendre soin des soldats blessés tout au long de la guerre civile. Elle s’occupa des soldats blessés des deux camps, faisant preuve de compassion pour tous ceux qui combattirent pendant la guerre. Après la bataille de « Glorieta Pass », elle sera considérée comme l’ange de Santa Fe.
Sources :
La « Guerre de Sécession », de Ken Burns.
Photos publiques Facebook
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Hopkins_Sibley
https://www.geni.com/people/Brig-Gen-Henry-Hopkins-Sibley-CSA/6000000012357879365
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Glorieta_Pass#cite_note-20
1 réponse
[…] La bataille de « Glorieta Pass » se déroula du 26 au 28 mars 1862 au Col de Glorieta, dans le nord du Nouveau Mexique. Ce fut une bataille importante et décisive de la campagne du Nouveau-Mexique (entreprise au cours de l’été 1861 par les forces confédérées du général Henry Hopkins Sibley). […]